Dans la préface de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, qui expose la Science divine de la guérison-Entendement que Jésus pratiquait, Mary Baker Eddy écrit : « Il appartient aux siècles à venir de proclamer ce qu'aura accompli le pionnier. » (p.vii) Cette collection d’articles hors-série aborde la façon dont la vie et les idées de cette femme hors du commun ont montré le chemin, et continuent de le faire, pour atteindre au progrès individuel et collectif qui mène vers l’Esprit.
La guérison des malades et des pécheurs était au cœur du ministère de Jésus tel qu’il est relaté dans les quatre évangiles. Tout au long du Nouveau Testament, nous voyons cette pratique de la guérison être poursuivie et pratiquée par ses disciples et ses premiers fidèles. Mais, malgré la prédiction de Jésus selon laquelle, au fil des âges, tous ceux qui croiraient en lui seraient également en mesure d’accomplir les œuvres qu’il a faites, cet espoir s’est amenuisé. Il en résulte que l’humanité, y compris la chrétienté, a en quelque sorte enterré la guérison spirituelle dans les cendres du temps.
Au cours des siècles, les guérisons spirituelles ont été considérées comme des événements isolés, dus au hasard ou à la chance, plutôt que des manifestations immanentes et systématiques – conformes à l’amour et à la sollicitude constants de Dieu pour l’humanité. Puis, au XIXe siècle, Mary Baker Eddy, en tant que Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, est venue avec une révélation qui change la vie, rétablissant le « christianisme primitif et son élément perdu de guérison » (Manuel de L’Eglise Mère, p. 17), selon ses paroles. Cela illustre le fait que ce qui était vrai autrefois l’est éternellement.
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