J’ai emménagé dans un autre Etat des Etats-Unis il y a deux ans. J’avais beau avoir le sentiment que Dieu m’avait inspiré ce changement, les problèmes se succédaient. Un jour, environ un an après mon installation, j’ai ressenti de la gratitude pour la guérison récente d’une grosseur douloureuse sur mon corps. Elle s’était vidée et dissoute grâce à la prière uniquement, grâce à ce que Mary Baker Eddy appelle « le dissolvant universel de l’Amour » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 242). Mais tandis que j’éprouvais de la reconnaissance pour cette guérison, une nouvelle grosseur, aussi dure et aussi douloureuse, a fait son apparition sur mon bras. Elle a rapidement grandi et la gêne a augmenté. Je l’ai recouverte pour fixer mes pensées sur Dieu au lieu d’y penser. Pourtant, un matin, malgré mes prières, la douleur était si forte que j’ai appelé une praticienne de la Science Chrétienne afin qu’elle me donne un traitement par la prière.
Au cours de la conversation, la praticienne m’a rappelé cette strophe du cantique 53 dans l’Hymnaire de la Science Chrétienne :
Bras divins qui nous enclosent,
Bras éternels de l’Amour,
En vous seuls, je me repose,
Vous me soutenez toujours.
(John R. Macduff, adaptation et traduction © CSBD)
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