Un jour, mon mari et moi nous rendions à pied au marché local en compagnie d’amis. Dans notre ville, les routes sont pavées et les chemins sont parsemés de nombreux nids-de-poule. Mon mari a trébuché dans l’une de ces ornières et s’est reçu sur les genoux. Il m’a paru troublé, et en l’aidant à se relever, j’ai remarqué que ses mains et ses genoux étaient gravement égratignés. Nous nous sommes assis sur un banc, mais peu de temps après, il a perdu connaissance et ne semblait plus respirer.
Tandis que je berçais mon mari doucement dans mes bras, une de nos amies, également scientiste chrétienne, lui a fait part de vérités métaphysiques. Elle a affirmé à voix haute qu’il était l’enfant de Dieu et qu’il n’était pas déchu, qu’il était en réalité vaillant, intact et libre. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il reprenne conscience et ouvre les yeux.
Nous avons ramené mon mari à la maison. Là j’ai pansé ses blessures et j’ai passé le reste de la journée à prier tranquillement pendant qu’il se reposait. J’ai affirmé le fait spirituel selon lequel il n’y a pas d’accidents dans le royaume de Dieu, car Dieu gouverne Son entière création à la perfection. J’ai réfléchi au contenu de ce passage tiré de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy : « Les accidents sont inconnus à Dieu, l’Entendement immortel, et nous devons abandonner la base mortelle de la croyance et nous unir à l’unique Entendement, afin de remplacer la notion de hasard par le vrai sens de la direction infaillible de Dieu et faire ainsi paraître l’harmonie. » (p. 424)
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