Grâce à l'étude de la Science divine, je comprends mieux quelle est l'identité réelle de l'homme, et cela me permit, par la prière, d'obtenir la guérison dans diverses circonstances.
Des plaies, qui s'étaient formées sur mon dos, me faisaient beaucoup souffrir. Je téléphonai à un praticien de la Science Chrétienne en lui demandant de me traiter par la prière. Je décidai, pour ma part, de lire des passages de la Bible et de Science et Santé. Tout en étudiant, je priais en affirmant que, puisque Dieu est bon, Il ne peut pas envoyer la douleur et la maladie. Il ne connaît que la santé et la perfection. Par conséquent, en tant que reflet de Dieu, je ne pouvais être qu'en bonne santé et exprimer la perfection. Alors que je continuais a prier ainsi, je me mis à éprouver un profond sentiment de paix et d'harmonie. Peu de temps après, la douleur se calma. En quelques jours, les plaies disparurent et je fus guéri.
Une autre guérison dont je suis reconnaissant concerne des relations humaines. Une personne que j'avais récemment rencontrée prévoyait de me rendre visite, et cela me remplit d'inquiétude. En fait, tout alla aussi mal que possible, comme je l'avais craint, et rien ne se passa selon le plan prévu. De retour chez moi, plus tard dans la journée, j'ouvris Science et Santé. En le lisant, je retrouvai mon calme et fus capable de penser clairement. Je me rendis compte que je n'obéissais pas au Premier Commandement: « Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. » (Ex.20:3) Grâce à ce commandement, je me rendis compte que je me tournais vers quelqu'un d'autre que Dieu pour trouver le bonheur. Ce faisant, j'acceptais que la visite puisse être soit un succès soit un échec. Par la prière, je commençais à voir que Dieu est la seule source de la vie et de notre bonheur. Étant un enfant de Dieu, je ne pouvais jamais être privé de bonheur ou manquer de quelque chose. Cette prise de conscience amena la guérison. Quelques jours plus tard, je rencontrai de nouveau cette personne, et tout se passa bien. Je n'étais plus tourmenté par l'anxiété, par le sentiment de manquer de quelque chose et d'être malheureux. J'étais libre d'exprimer ma nature d'enfant de Dieu. Cette magnifique démonstration ne s'arrêta pas là. Je fus aussi en mesure de permettre à un voyageur étranger de s'acclimater à notre pays et d'aider des amis à résoudre une dispute.
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