Au moment de la catastrophe de la centrale nucléaire de Three Mile Island, en Pennsylvanie (U.S.A.), mes parents habitaient dans un rayon de 80 km autour de la centrale, ce que certains journalistes avaient appelé la «zone à risque». N'étant pas en mesure de contribuer à la résolution concrète du problème, nous avons prié, chacun à sa façon. Nous avions la conviction que Dieu était le seul pouvoir vers lequel nous tourner en de telles circonstances.
Beaucoup d'autres gens priaient — notamment, sans aucun doute, les employés qui travaillaient à réparer les dommages causés par l'accident. A la grande joie de tous, ils y parvinrent.
Depuis, les citoyens du monde entier continuent d'être exposés au danger que représentent des déchets chimiques mal stockés, des explosions telles que celle de la centrale nucléaire de Tchernobyl dans l'ancienne Union soviétique, des naufrages de pétroliers comme celui de février 1996 le long des côtes du pays de Galles et d'autres choses de ce genre. Ces situations méritent que nous priions à leur sujet, que nous en entendions simplement parler en lisant le journal ou que cela survienne «à notre porte», comme dans le cas de mes parents.
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