Il y a quelques années, je constatai qu’une protubérance apparaissait sur mon corps par intermittence. Cela n’était pas douloureux, mais l’endroit saignait. Étant étudiant de la Science Chrétienne, je savais que je devais avant tout voir cela comme une suggestion, une prétention laissant entendre que l’homme est matériel et par conséquent sujet à la détérioration et à l’inharmonie. Je savais aussi, grâce à mon éducation spirituelle en Science, que pour corriger la situation, je devais m’accrocher aux faits contraires, c’est-à-dire aux vérités spécifiques concernant la nature véritable, spirituelle de l’homme. Il était évident pour moi que Dieu ne pourrait jamais permettre aucun désordre dans Son univers, créé et maintenu par Lui, le Principe parfait, unique, et que ce fait garantissait l’intégrité de l’existence de l’homme.
Le résultat démontra une fois de plus la validité de ce que Christ Jésus prouva et que Mary Baker Eddy explique dans ses écrits: la vérité divine, comprise et acceptée, a l’autorité et le pouvoir de chasser l’erreur, ainsi que ses prétendus effets physiques. J’étais guéri. Je pense que cet épisode a duré en tout deux ou trois mois.
Une autre guérison avait eu lieu environ un an plus tôt. Mes chevilles avaient enflé d’une manière inexplicable. Je ne souffrais pas. Cependant l’enflure devenait si prononcée qu’il m’était difficile d’enfiler mes chaussures. Ma femme et ma sœur le remarquèrent, ainsi qu’un ami au travail, et tous exprimèrent leur inquiétude.
Il était évident que cette situation n’était pas juste et j’avais demandé à un praticien de la Science Chrétienne de m’aider par la prière. Plus tard, sur ma demande, un autre praticien avait repris le cas et continué à m’aider. Le fait spirituel de base auquel je m’étais attaché était que la seule substance réelle est l’Esprit, non la matière. Je savais que la substance de mon être était le reflet de cette substance parfaite. Un état malade ou inharmonieux est carrément incompatible avec ces vérités. Comme je m’accrochais à ces faits spirituels, le mal fut guéri en quelques mois. Cette difficulté a disparu définitivement.
Je suis reconnaissant pour tous les périodiques de la Science Chrétienne. Ils fournissent les Leçons bibliques de chaque semaine (Livret trimestriel de la Science Chrétienne), des nouvelles internationales (The Christian Science Monitor) et, par The Christian Science Journal, le Christian Science Sentinel, et les éditions du Héraut de la Science Chrétienne, une communication bienvenue et chaleureuse entre les membres de la famille formée par ceux qui, dans le monde entier, cherchent et suivent la direction de la lumière spirituelle et qui partagent mutuellement l’inspiration de leur discernement et de leurs expériences.
Annapolis (Maryland), U.S.A.
