J’ai la plus profonde conviction que la Science Chrétienne est « la perle de grand prix » dont il est question dans la Bible. En 1940, j’ai été guérie par la Science Chrétienne de façon permanente de tuberculose pulmonaire, maladie pour laquelle j’avais été soignée médicalement à un certain moment. J’avais souffert de cette maladie depuis l’âge de treize ans.
J’ai également été guérie d’une très grave infection de la gorge ainsi que d’autres maux physiques. Il y a quelques années, il semblait que j’allais devoir subir une perte financière particulièrement lourde, mais là encore, en m’appuyant sur Dieu selon la Science Chrétienne, j’obtins une solution harmonieuse.
Il y a deux ans, dans une rue en pente, je fis une chute et me blessai au poignet. Cependant je me relevai vivement et affirmai que je ne pouvais souffrir d’aucune suite de quelque chose qui, en réalité, n’était jamais arrivé. Puis je rentrai chez moi. Je devais assister à une assemblée ce soir-là et cela me fut possible. Personne ne sembla remarquer mon poignet. Mais quand j’arrivai chez moi, il devint évident que j’avais besoin d’aide. Aussi je téléphonai à un praticien de la Science Chrétienne qui vit dans un autre pays. Il accepta affectueusement de m’aider.
Cette nuit-là je dormis, mais mal, car mon poignet était très douloureux. Le lendemain matin, je ne me sentais toujours pas bien et je rappelai le praticien. Il me rassura en m’expliquant que cette difficulté serait résolue dans la mesure où j’accepterais vraiment et avec compréhension la réalité de ce qui constitue mon être — c’est-à-dire, qu’en qualité d’homme de Dieu, j’étais l’expression parfaite, immaculée de l’Amour divin. Après avoir étudié la Leçon biblique de la semaine, je pris un exemplaire du Christian Science Journal et y lus un article. Cet article relatait la guérison d’une morsure mortelle d’un serpent venimeux, et son auteur indiquait que c’est le réveil spirituel qui produit la guérison. Je pris conscience que c’était ce dont j’avais besoin. J’élevai donc mes pensées vers Dieu en me réjouissant de Sa bonté infinie. J’essayai également de comprendre ce que signifie être le reflet pur de Dieu. Cet après-midi-là, je parlai à nouveau avec le praticien. Peu après, j’allai à la salle de bain pour me laver les mains. Pendant que je les essuyais, j’entendis un claquement sec dans mon poignet, et je sentis que quelque chose reprenait sa place. Je sus que j’étais guérie. Ma joie fut sans bornes ! Très vite l’enflure et la douleur disparurent.
Bien sûr, je suis très reconnaissante pour la guérison physique qui se fit si rapidement. Mais je le suis encore plus pour la leçon que j’en retirai: la nécessité de s’éveiller à la réalité spirituelle.
Je peux vraiment dire que la Science Chrétienne est tout pour moi, et je fais de mon mieux pour vivre ses idéaux élevés.
Copenhague, Danemark
