Au cours d'un week-end où ma femme était absente, je souffris de ce qui paraissait être des calculs rénaux. J'étais de service ce dimanche comme chef huissier dans notre église filiale, et je ne voulais pas être absent. Aussi appelai-je une praticienne de la Science Chrétienne pour qu'elle m'aide. La praticienne me recommanda d'étudier le mot « conscience », ce que je fis tout au long de la journée du samedi, utilisant les Concordances de la Bible et des œuvres de Mrs. Eddy.
Dans Science et Santé, Mrs. Eddy affirme (p. 67): « Ce n'est pas la conscience corporelle, mais la conscience spirituelle, qui est nécessaire. L'homme délivré du péché, de la maladie et de la mort présente la vraie ressemblance ou idéal spirituel. » Ce passage me convainquit que ce que je devais revendiquer en conscience n'était pas ce que je croyais ressentir, mais ce que je suis en réalité, l'enfant parfait de Dieu. Une phrase à la page 273: « Il n'y a pas de vérité matérielle », me fit voir aussi que malgré la réalité que paraissaient avoir les symptômes physiques, ceux-ci étaient une croyance mortelle, une conception erronée. Continuant mon étude, je devins de plus en plus convaincu de l'impossibilité de lois contraires à Dieu, car Sa loi est suprême. La guérison par Christ Jésus de l'homme malade à la piscine de Béthesda (Jean 5:2—9) m'apprit que lorsque nous abandonnons les limitations matérielles et acceptons consciemment la puissance divine qui embrasse tout, l'inharmonie disparaît. Mrs. Eddy nous dit (Science et Santé, p. 276): « Si l'on admet que Dieu est le seul Entendement et la seule Vie, le péché et la mort n'ont plus l'occasion de se manifester. »
Cet après-midi-là, j'appelai la praticienne pour lui dire que j'étais guéri. Elle me dit: « Je l'ai senti. Je le savais. » Après une bonne nuit de sommeil, je fus à mon poste d'huissier le lendemain matin, me sentant mieux que jamais. Notre Première Lectrice devant s'absenter le mercredi soir suivant, le conseil exécutif me demanda de la remplacer. Dans ma recherche au sujet du mot « conscience », j'avais trouvé tant d'énoncés pleins d'inspiration que je pus les utiliser pour la lecture de la Bible et de Science et Santé que je préparai pour la réunion de témoignage du mercredi. Ainsi une conscience plus élevée du divin Tout non seulement contribua à ma guérison, mais me donna un thème pour la lecture que je pus partager avec d'autres.
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