A une époque de ma vie, je traversais chaque jour un pont reliant Boston à Cambridge. J'étais à pied et presque toujours, en levant les yeux, je remarquais ces paroles de l'Apocalypse inscrites sur l’un des piliers à l'entrée du pont: « Sur les deux bords du fleuve, il y avait un arbre de vie, produisant douze fois des fruits, rendant son fruit chaque mois, et dont les feuilles servaient à la guérison des nations.
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