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Il y a environ quatre ans je terminai ma première lecture d’un bout...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 1977


Il y a environ quatre ans je terminai ma première lecture d’un bout à l’autre de Science et Santé de Mrs. Eddy. Lorsque j’étais enfant, j’avais suivi à la fois une École du Dimanche de la Science Chrétienne et une école du dimanche traditionnelle. Lorsque je quittai la maison, la recherche naturelle de ma véritable identité m’amena à me reconnaître en tant que Scientiste Chrétienne.

Alors que je lisais le chapitre intitulé « Pratique de la Science Chrétienne », je fus arrêtée par cet ordre de Mrs. Eddy (Science et Santé, p. 391): « Lorsque le corps est censé dire: “Je suis malade,” ne vous déclarez pas coupable. » Je lus plus loin: « Si vous dites: “Je suis malade,” vous vous déclarez coupable. » Cette injonction était saisissante parce qu’elle m’indiquait comment traiter la maladie. Je remerciai Dieu silencieusement et désirai secrètement avoir l’occasion de prouver cela.

Le week-end suivant était celui de Pâques, et je devais recevoir la visite de ma sœur l’école. Nous avions fait de nombreux projets printaniers. Le jeudi de cette semaine-là, je me sentis très mal, ayant un rhume et de la fièvre, et j’envisageai de ne pas aller en classe et d’une façon générale de réorganiser mes plans en fonction de ma maladie. Confortablement installée dans mon lit, je commençai à étudier Science et Santé, pour m’aider à me sortir de cette situation. Je me rappelai les mots: « Ne vous déclarez pas coupable », et, « Si vous dites: “Je suis malade,” vous vous déclarez coupable. » Je me rendis compte immédiatement que toute ma vie, je m’étais dorlotée quand je n’étais pas bien — trouvant même agréables ces périodes de maladie. N’ayant jamais eu de problème sérieux ou de cas urgent, je considérais la maladie comme un temps pour se reposer, pour être l’objet d’attentions et pour être servie par la famille et les amis. Je pensai : « Non seulement je ne peux pas dire: “Je suis malade”, mais Je ne puis même pas penser : “Je me sens malade.” » L’ordre de Mrs. Eddy signifiait pour moi en cette occurrence que je devais me lever et continuer à vaquer à mes affaires, ne reconnaissant, même pour un instant, rien d’autre que l’être spirituel parfait, créé et maintenu à jamais par Dieu. Je n’ignorai pas, ou n’oubliai pas le problème, mais je le traitai pour ce qu’il était — rien.

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