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La compréhension spirituelle surmonte les difficultés administratives

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1973


Permis, licences, affidavits, formulaires en trois exemplaires: peu d’entre nous en sont exempts. Ce sont des moyens humains destinés à contribuer au fonctionnement de la loi et au maintien de l’ordre et on devrait les considérer comme des amis — et c’est bien le cas, s’ils opèrent sous le gouvernement de l’intelligence divine. Mais trop souvent, il nous semble justifié de les considérer comme des ennemis, des frustrations que symbolise la paperasserie nous enchevêtrant en un tissu de formalités légales, nous empêchant de faire des choses qu’il est normal pour nous de faire et de posséder des choses dont nous avons réellement besoin.

Pareilles frustrations ne constituent pas un phénomène exclusif de la bureaucratie du vingtième siècle. Elles résultent des manœuvres immémoriales auxquelles le mal ou entendement mortel se livre, au moyen de divers aspects de la loi humaine, pour proclamer que la loi divine d’harmonie peut être tenue à l’écart et qu’il est possible de mettre obstacle à la volonté de Dieu. Si elle en avait été capable, cette forme de magnétisme animal aurait même entravé Christ Jésus dans sa démonstration du pouvoir guérisseur de l’amour de Dieu. Une fois, par exemple, l’interprétation littérale de la loi ecclésiastique tenta même de l’empêcher de guérir un paralytique le jour du sabbat.

Cependant, parlant de la loi de Moïse, le Maître dit: « Je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. » Matth. 5:17; Rien ne pouvait l’arrêter dans l’accomplissement de la mission que Dieu lui avait conférée et qui consistait à démontrer la perfection de l’homme. Les entraves paperassières de la loi de César, l’interprétation littérale des commandements mosaïques, la croyance que les lois physiques de l’hygiène gouvernent la santé de l’homme — rien de tout cela ne pouvait gêner l’opération des lois divines telles qu’il les appliquait. Il prouva la supériorité de la loi spirituelle sur la loi physique faillible, mit fin, grâce à la sagesse divine, aux arguments des érudits de théologie et de médecine, et guérit la paralysie, l’insanité, la lèpre, en opposition à la prétendue loi matérielle. Mrs. Eddy écrit: « Que son patient ait été un théologien de quelque secte fanatique, un médecin ou un professeur de philosophie naturelle, — du genre rudimentaire qui prédominait alors, — il ne remercia jamais Jésus d’avoir guéri sa main insensible; mais ni le formalisme, ni les affronts, n’entravèrent le processus divin. » Unité du Bien, p. 11.

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