C'est une bonne chose d'être un penseur indépendant et non pas simplement de suivre la foule. Il est parfois plus facile d'accepter le point de vue des autres, mais le résultat final est souvent très décevant. C'est ce que découvrit le fils prodigue dans la parabole de Christ Jésus; et il n'est pas nécessaire de se laisser aller à ce même genre de débauche pour arriver à pareille conclusion.
J'avais autrefois admis sans contestation que la vie dans la métropole où j'habite était une vie d'excitation fiévreuse. Il semblait aussi difficile d'y circuler en voiture qu'à pied, et il me semblait que j'avais besoin de six heures supplémentaires par jour pour y empiler tout ce qu'il fallait faire. Je commencai à me sentir exténuée le soir en me couchant et épuisée le matin en me levant.
Un matin, je me réveillai avec cette phrase: « Je me lèverai, j'irai vers mon père. » Luc 15:18; Ceci est tiré de l'histoire de l'enfant prodigue. Comme je ne me sentais pas du tout dans la situation de l'enfant prodigue, je me demandai pourquoi je m'étais réveillée avec ces paroles. J'avais cependant appris que lorsqu'un passage de la Bible me venait ainsi à l'esprit, il y avait une très bonne raison pour cela; et, tout en m'habillant, je réfléchis à ce passage.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !