Rien de ce qui est bon ne peut jamais être détruit. Ceci peut paraître paradoxal à toute personne ayant le sentiment que certaines choses considérées par elle comme bonnes ont disparu de la sphère de son expérience. Néanmoins c'est un fait bien établi que toute chose reflétant la nature du bien, ou Dieu, est éternelle et n'est sujette ni à la décrépitude ni à la dissolution.
Il est salutaire et réconfortant d'examiner les diverses conséquences qui découlent de cette constatation. Le bien étant un autre mot pour désigner Dieu, l'Esprit, tout ce qui est bon doit être spirituel et être une expression du divin Principe créateur, la Vérité et l'Amour. Toute expression de ce Principe est aussi éternelle que le Principe lui-même.
Jésus comprenait que l'homme est enfant de Dieu, image et ressemblance de l'unique Père. Il savait que par conséquent l'homme est spirituel et indestructible. Cette compréhension lui donnait la possibilité de guérir les malades et les mourants et même de ressusciter les morts. Mrs. Eddy nous dit: « Il comprenait que l'homme, dont la Vie est Dieu, est immortel, et il savait que l'homme n'a pas deux vies, dont l'une doit être détruite et l'autre rendue indestructible. » Science et Santé, p. 369 ;
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