J'avais eu connaissance de la Science Chrétienne quelque temps auparavant, mais ce n'est qu'après avoir entendu une conférence que je me rendis compte du bien que cette religion apportait à l'humanité. Je fus frappée par la déclaration avec laquelle le conférencier commença sa conférence: « Je m'attends à voir des guérisons s'accomplir ici ce soir. » La grosseur que j'avais depuis quelque temps à la poitrine et qui devenait de plus en plus sensible me vint à la pensée. Aujourd'hui je ne me souviens plus du nom du conférencier ni même du sujet de la conférence, mais je sais que j'y fus guérie.
Ce n'est que deux semaines plus tard que je repensai à cette grosseur, qui avant la conférence me préoccupait constamment, mais je ne me trouvai rien d'anormal. J'étais complètement guérie.
J'aimerais pouvoir dire que je fus comme le lépreux, le seul qui, sur les dix que Jésus guérit, « voyant qu'il était guéri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu à haute voix » (Luc 17:15). Mais ce ne fut pas le cas. Au contraire, pendant les cinq années qui suivirent, je parcourus l'un après l'autre des sentiers obscurs, ne récoltant que déceptions, espoirs frustrés, chagrin, tout le contraire de ce que j'avais espéré y trouver. Puis un jour je compris que je devais cesser d'errer ainsi à l'aveuglette. J'avais cherché partout le bonheur excepté en Dieu. Désespérée, je voulais bien essayer de m'en remettre à Dieu, et j'allais enfin connaître ce que Dieu peut accomplir pour Ses enfants.
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