« Les mortels ont moralement leur libre arbitre pour choisir qui ils veulent servir » écrit Mary Baker Eddy dans Unité du Bien (p. 60). Il est donc clair que chacun est libre de choisir constamment entre les idées substantielles, ou réelles, de Dieu, l'Entendement divin, et les suggestions insubstantielles, ou irréelles, du mal, ou entendement mortel.
Cette façon de choisir se manifeste dans les incidents quotidiens par ce qu'on peut appeler « le rejet de l'erreur ». Quand, par exemple, des symptômes de contagion ou toute autre suggestion discordante de maladie frappent à la porte de notre pensée, chacun de nous a le droit et l'occasion de rejeter ou d'éliminer de telles notions.
Mrs. Eddy déclare dans le livre de texte de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Écritures (pp. 425, 426): « Rejetez toute notion concernant les poumons, les tubercules, la tuberculose héréditaire ou toute maladie provenant d'une circonstance quelconque, et vous verrez que l'entendement mortel, lorsqu'il est instruit par la Vérité, cède au pouvoir divin qui mène le corps à la santé. »
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