Nous attirons l'attention des membres de L'Église Mère et de ceux que la chose intéresse sur l'Article VIII, Section 22, du Manuel de L'Église Mère, par Mary Baker Eddy, spécialement sur le premier paragraphe: « Les membres de cette Église tiendront pour confidences sacrées toutes les communications privées que leurs patients leur auront faites, ainsi que toute information pouvant leur être connue par les rapports du praticien avec le patient. Toute infraction sur ce point soumettrait le contrevenant à la discipline de l'Église. »
Selon la lettre et l'esprit de ce Statut, ceux, qui consacrent leur temps à la pratique de la Science Chrétienne sont tenus de bien protéger ce que leurs patients leur disent concernant leurs circonstances financières, personnelles ou autres. Dans la conversation, dans les témoignages ou ailleurs, les praticiens ne doivent pas mentionner ces communications en termes qui permettraient de reconnaître les personnes en cause ou qui pourraient nuire à qui que ce soit.
Selon le Manuel de l'Église, les membres s'exposent à une peine disciplinaire s'ils désobéissent à cette importante règle professionnelle, qui doit protéger à la fois le patient et le praticien.
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