La gratitude remplit mon cœur, et je désire attester que j'ai reçu par la Science Chrétienne des bienfaits innombrables. Je ne puis me représenter ce que serait ma vie sans cette belle, cette merveilleuse religion.
J'ai été guérie de douleurs abdominales et d'un mauvais catarrhe. Un matin, comme j'étais incapable de sortir du lit ou de me tenir debout, j'eus immédiatement recours à la vérité de la Science Chrétienne, et je m'écriai: « Erreur, tu ne peux pas stationner ici! » A la page 469 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, Mary Baker Eddy déclare: « Nous ensevelissons le sens d'infinitude quand nous admettons que, bien que Dieu soit infini, le mal a une place dans cette infinité, car le mal ne saurait avoir de place, là où tout l'espace est rempli de Dieu. » Je sus que Dieu, l'Entendement, était mon soutien et qu'Il rétablirait ma santé. Ayant réalisé cela, je pus me lever et me tenir droite.
Un jour, mon mari fut presque complètement asphyxié parce qu'une conduite de gaz avait sauté dans les locaux où il travaillait. Il avait perdu connaissance lorsqu'on le ramena chez lui. Tout de suite j'eus recours à une praticienne, et j'affirmai constamment que mon mari avait l'être en Dieu. L'application de la vérité eut des effets immédiats: bien vite mon mari se trouva mieux et le lendemain il put retourner au travail. Deux jours plus tard il était complètement guéri. L'enfant dé Dieu était bien, comme il l'avait réellement toujours été. Une autre fois mon mari devint aveugle d'un œil, mais grâce au traitement de la Science Chrétienne il recouvra la vue.
Nous eûmes encore une autre belle démonstration, prouvant que le divin Amour, la seule présence et l'unique pouvoir, améliore toutes les circonstances humaines. Un jeune homme travaillant avec mon mari semblait avoir mauvais caractère. Sans la moindre raison, il se montrait souvent malhonnête envers lui; il alla même jusqu'à le frapper. A son retour, mon mari était très abattu, indigné. Il s'aigrissait et j'eus grand-peine à le réconforter. Je lui dis tout de suite: « Arrête; ne tombe pas dans la condamnation ou la critique. Voyons comment Dieu agit. »
Par la prière silencieuse, j'élevai vers Dieu mes pensées et je redis ce verset de la Bible (Ps. 71:3): « Sois mon rocher, la retraite où je puisse me réfugier en tout temps! Tu as donné des ordres pour que je sois sauvé, car tu es mon rocher et ma forteresse. » Puis nous nous efforçâmes de voir le jeune homme tel que Dieu l'avait créé — parfait, pur, humble, plein d'amour. Cette prière ne fut pas vaine. Nous remarquâmes bientôt que les rapports avec le jeune homme devenaient plus harmonieux. Nous continuâmes à le voir à la lumière de l'Esprit, sachant que toute cause et tout effet sont en Dieu; que dans Son univers spirituel il ne peut y avoir de haine ou d'ennemi, car l'Amour est le seul pouvoir. Bientôt ce caractère fut transformé; au travail, tout se passait dans le calme, l'harmonie, et le jeune homme appela même son compagnon « cher ami. » L'Amour divin, gouvernant toutes choses, avait touché le cœur du jeune homme, qui grâce à ce réveil percevait le bien.
Cette belle preuve m'inspire une profonde reconnaissance; pour la religion de la Science Chrétienne, trésor inestimable, ma gratitude est infinie; je suis très heureuse d'être membre de L'Église Mère et d'une de ses filiales. — Soleure, Suisse.
Je corrobore le témoignage de ma femme. Au sujet de la Science Chrétienne, ma reconnaissance ne connaît pas de limites. Il y a plusieurs années, elle m'a guéri de maux d'estomac; j'apprécie beaucoup le fait que je n'ai jamais envie de boire ou de fumer. Pour moi c'est un grand privilège de faire partie de L'Église Mère et d'une Société de la Science Chrétienne.
Par ma manière de vivre, je désire sincèrement être digne du nom de Scientiste Chrétien. J'estime qu'une meilleure compréhension spirituelle, la joie, la paix, le calme, sont des indices de progrès. —