Il y a plus de trente ans que je priai ma mère de me laisser fréquenter l'École du dimanche Scientiste Chrétienne, où allaient trois de mes cousins que j'aimais beaucoup; cette permission me fut accordée. Depuis lors les remèdes matériels, la philosophie humaine, la psychologie, la psychiatrie, l'astrologie ne m'ont nullement intéressé et je n'y ai pas eu recours pour résoudre mes problèmes. J'ai trouvé en Science Chrétienne le chemin qui me satisfait pleinement — une manière de vivre qui est à la hauteur de toutes les circonstances. En outre, c'est une joie infinie d'avoir la promesse du salut parfait révélé par la Science, et de sentir que ma conscience se spiritualise toujours davantage.
Les docteurs avaient dit à mes parents que j'étais délicat et que je n'arriverais pas à l'âge d'homme. Leur prédiction ne s'est pas accomplie.
Je fréquentais régulièrement l'École du dimanche, et j'avais environ douze ans lorsque mon père me conduisit chez un médecin qui déclara que j'avais les oreillons et me prescrivit des pilules. Mais je comptai sans réserve sur la Science Chrétienne et sur l'aide d'un praticien; à ma demande, une de mes tantes avait bien voulu communiquer avec lui. Lorsqu'un peu plus tard, selon le désir de mon père, je retournai chez le docteur, celui-ci me trouva en bonne santé et dit que je n'avais sans doute pas eu les oreillons.
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