La Science Chrétienne m'a fait tant de bien que je désire exprimer ma gratitude.
Deux mois avant la naissance de mon bébé en 1918, j'eus ma première guérison, alors que je souffrais de grippe. Plusieurs années s'écoulèrent avant que je me misse sérieusement à l'étude. Je fus guérie d'une dépression nerveuse qui me rendait très faible. Pendant deux ans je m'attachai au premier verset du psaume vingt-sept, et lorsque la guérison se produisit elle fut soudaine. J'ai pu vaincre le ressentiment à l'égard d'une personne qui semblait causer à notre famille beaucoup de tristesse et de chagrin, car j'apprends que le mal est irréel et ne fait point partie d'un enfant de Dieu.
Pendant mon adolescence j'eus un gros goitre. Mes parents me firent traiter par un docteur; le goitre cessa d'augmenter mais ne se guérit pas. Quelques années plus tard, comme j'avais entrepris l'étude de la Science Chrétienne, en rentrant chez moi un mercredi soir après avoir assisté à une réunion de témoignages, je vis que la grosseur avait complètement disparu. Mrs. Eddy déclare dans Unity of Good (p. 54): « Pour être guéri, l'on doit perdre de vue la fausse prétention. » Elle affirme en outre que la maladie est irréelle. Jésus dit aux scribes dont la pensée l'accusait parce qu'il venait en aide au paralytique (Matth. 9:5): « Lequel est le plus aisé, de dire: Tes péchés te sont pardonnés... ou de dire: Lève-toi et marche? »
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