Ma première guérison par la Science Chrétienne remonte à vingt-cinq ans. Elle fut instantanée et me délivra des suites de la grippe espagnole, alors que j'étais très malade. Au cours des années, les bénédictions ont été toujours plus nombreuses; je désire donc exprimer au moins en partie ma profonde gratitude envers Dieu pour tout ce que je dois à l'étude et à l'application de la Science Chrétienne. Dans mon cas et celui d'autrui, j'ai vu tant de maux disparaître grâce à la Science Chrétienne, qu'il m'est difficile de n'en parler que brièvement.
Je tiens à mentionner ce qui fut pour moi une précieuse leçon, qui m'a plusieurs fois dès lors rendu service. Il s'agit du mobile qui nous fait souhaiter la guérison. Sans doute, nous savons que si l'on désire être guéri uniquement pour ne plus souffrir, cela ne suffit pas pour produire la guérison. Mais parfois il nous semble que nous voudrions être guéris pour prouver à notre entourage que la Science Chrétienne est efficace.
Ici le mobile peut sembler louable. Pourtant sa base n'est pas scientifique, car il présuppose deux situations erronées. Tout d'abord, il accepte la fausse croyance qu'il y a quelque chose à guérir, une condition physique inharmonieuse dont on doit se libérer — au lieu de reconnaître que l'erreur est un songe dont il faut se réveiller. En second lieu, il accepte la croyance à plusieurs entendements qui vous observent et peut-être vous critiquent, tandis que la guérison par la Science Chrétienne ne peut s'accomplir que sur cette base: un seul Entendement divin, l'unique Entendement dont l'homme ait conscience ou qui puisse être conscient de l'homme.
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