Le cœur plein de reconnaissance envers Dieu et envers notre révérée Leader, Mary Baker Eddy, j'écris ce témoignage de guérison.
Ma mère entreprit l'étude de la Science lorsque j'avais quinze ans; elle fut guérie de maux d'estomac et de frissons nerveux, pour lesquels elle s'était fait soigner pendant bien des années. Elle fut aussi guérie de l'appendicite.
A la naissance de mon fils, je consentis à me faire aider en Christian Science.Nom donné par Mary Baker Eddy à sa découverte. (Se prononce Kris'tienn Sa'ïennce.) La traduction littérale de ces deux mots serait Science Chrétienne. J'eus un seul traitement à distance donné par une praticienne. Le second jour je me levai, et une semaine après la naissance du bébé je me rendis en ville à pied ce qui faisait, aller et retour, environ trois kilomètres. Malgré cela quinze années s'écoulèrent avant que j'entreprisse l'étude de la Christian Science. Le docteur me soignait depuis un an et demi lorsque je résolus d'avoir recours à une praticienne. Avec son aide, je fus guérie d'une dépression nerveuse. Ce ne fut pas une guérison rapide. Il fallut surmonter beaucoup de fausses croyances telles que la condamnation de soi-même et la susceptibilité. Deux passages de Miscellaneous Writings (pp. 223, 224), par Mrs. Eddy, m'aidèrent beaucoup: « Nous punir pour les fautes d'autrui, c'est le comble de la folie; » et: « Il est juste que nous déplorions nos propres fautes; mais nous ne devrions pas nous punir pour les fautes d'autrui. » Je m'étais condamnée moi-même parce que la guérison était lente. Au cours d'un entretien où j'en parlais à la praticienne elle me dit: « Se condamner soi-même, c'est manquer de gratitude. » Cette pensée ne m'était jamais venue! En cherchant à vaincre la dépression nerveuse, j'avais obtenu beaucoup d'autres guérisons, et je savais que je ne pouvais être ingrate au sujet du bien déjà reçu. Je m'aperçus qu'en me condamnant moi-même, je voyais l'homme en tant que mortel et je me condamnais touchant une chose qui n'était pas vraie.
Une autre guérison prouva que la parole de Dieu est « vivante et efficace. » J'avais à la paupière une petite excroissance et diverses personnes me demandèrent pourquoi je ne la faisais pas enlever. Je me rendis compte que plusieurs en étaient choqués. Il me vint à la pensée cette déclaration de Mrs. Eddy (Science et Santé, p. 463): « Une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d'erreur, et cette vérité enlève convenablement tout ce qui est nuisible. » Pendant tout un jour je m'attachai à cette déclaration; et dans l'espace de vingt-quatre heures l'excroissance tomba d'elle-même.
Parmi les nombreux autres maux dont je fus guérie, je citerai les hémorroïdes et des douleurs périodiques datant de ma jeunesse. Je désire aussi exprimer ma gratitude touchant les guérisons qu'ont eues mes deux enfants, entre autres dans les cas suivants: empoisonnement par le toxicodendron, oreillons, coqueluche. Ma fillette avait une éruption infectieuse aux pieds, mais elle fut guérie en chantant un cantique (Christian Science Hymnal, Nº 139).
Je serai toujours reconnaissante d'avoir été conduite à une praticienne qui m'aida avec beaucoup d'amour, de patience et de consécration. Être membre de L'Église Mère et d'une église filiale, c'est aussi pour moi un sujet de joie et de gratitude. Je rends grâce à Dieu concernant Jésus le Christ, le Conducteur, et Mrs. Eddy, qui a découvert et donné à notre époque la Science du Christ, de la Vérité.
Pouvoir démontrer chaque jour les vérités enseignées par Jésus, telle est ma prière; je voudrais ainsi me montrer digne de ces paroles du Maître: « Ce n'est pas seulement pour eux que je prie, mais aussi pour ceux qui croiront en moi par leur parole, afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi et moi en toi; afin qu'eux aussi soient en nous, pour que le monde croie que c'est toi qui m'as envoyé. »
Pasadena (Californie), États-Unis.
Je suis la mère de Mme Difley. Je suis très reconnaissante des nombreuses guérisons obtenues depuis que j'étudie la Christian Science. Quand mon petit-fils vint au monde, j'étais avec ma fille, et je me rappelle avec gratitude qu'elle fut sur pied dès le second jour, après un seul traitement en Christian Science.— Long Beach (Californie), États-Unis.
