Ce n'est pas pour la guérison physique que j'entrepris l'étude de la Science Chrétienne, mais je fus attirée vers elle par la guérison d'un membre de ma famille. Ma profonde gratitude m'engagea à lire Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, dans l'espoir d'apprendre comment cette guérison s'était produite; je ne savais pas que cette lecture me ferait beaucoup de bien au double point de vue mental et physique. Je ne lisais pas d'une façon régulière; néanmoins, je pus graduellement entrevoir la nature de Dieu mieux que je ne l'avais jamais fait, et à mesure que je lisais, je sentais croître mon respect pour la Science Chrétienne.
Quelques années plus tard, dans ma détresse je me tournai sérieusement vers la Science Chrétienne. A cette époque-là le chagrin, les contrariétés, le découragement, la jalousie, la critique remplissaient mes pensées. J'étais extrêmement nerveuse et débile, j'avais presque chaque jour des migraines.
Ce fut vraiment une grande bénédiction de découvrir que Dieu est le Principe infini, plein d'amour, auquel je dois conformer ma conscience et ma vie. Avec le temps et grâce à une étude sérieuse, ma pensée s'unit davantage au Principe, fut en communion avec l'Entendement, Dieu, et les conditions pénibles disparurent. Je retrouvai mon héritage de force et de liberté. Pour moi ceci confirmait les paroles de Mrs. Eddy, à la page 239 de Science et Santé: « Si l'action procède de l'Entendement divin, l'action est harmonieuse. » J'ai eu depuis lors bien des guérisons, mais ces premières preuves furent remarquables parce qu'elles étaient dues entièrement à la lecture du livre de texte.
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