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Ayant entendu dire que la guérison fait partie de la Science Chrétienne,...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1942


Ayant entendu dire que la guérison fait partie de la Science Chrétienne, sans rien dire aux miens j'assistai un mercredi soir, il y a vingt ans, à une réunion de témoignages. Quoique très attachée à l'église méthodiste, j'étais convaincue qu'en cette matière le Père céleste me guidait. Je priai et demandai qu'il me soit prouvé si je suivais le bon chemin. Depuis des années j'étais sujette aux bronchites, aux refroidissements, à l'aphonie. Dans le cas particulier, je souffrais de la tête et des oreilles, ce qui m'enpêchait de bien entendre. Pendant la réunion, je priai pour avoir un signe qui me prouve la vérité. Tout à coup, pendant les témoignages, quelque chose sembla éclater dans mes oreilles et j'entendis clairement. Cette preuve d'un pouvoir guérisseur m'engagea à étudier la Science Chrétienne, car depuis mon enfance ma vue était très mauvaise.

J'achetai un exemplaire de Science et Santé, par Mrs. Eddy, et je le lus assidûment chaque fois que cela m'était possible; remplie d'espoir, je priai pour recevoir la vision spirituelle, afin de surmonter le mal qui, disait-on, devait bientôt me rendre complètement aveugle. En effet, un spécialiste m'avait conseillé pendant que j'y voyais encore, d'entrer à l'école des aveugles pour me familiariser avec les méthodes qu'il me faudrait sans cela apprendre plus tard uniquement par le toucher. Au cours des quatre années suivantes, j'eus beaucoup de belles guérisons, mais ma vue ne s'améliora pas.

Tandis que mon mari et moi nous promenions en auto avec une amie, il exprima de nouveau le désir que je devienne membre de l'église. Je lui dis, comme je l'avais déjà fait, qu'il me fallait d'abord prouver les enseignements de la Science Chrétienne, que je me joindrais à l'église quand j'aurais l'impression d'en être vraiment digne. Je demandai à mon amie si elle n'approuvait pas mon point de vue. Elle me répondit: « Vous vous demandez pourquoi vous n'arrivez pas à vous passer de lunettes et vous persistez à vous faire ombre à vous-même. » Cette remarque me frappa et j'examinai de nouveau la question. Inutile de dire que je fis ma demande d'admission dans l'église. Deux heures après avoir signé le registre des membres, j'eus l'occasion d'enlever mes verres. Quand je les remis, je ne pus m'en servir. Même après les avoir bien frottés, ils continuèrent à me sembler troubles, mal au point. En regardant les champs, je m'aperçus que je pouvais voir très loin sans lunettes, ce que ma myopie m'avait toujours empêché de faire. La démonstration s'était enfin accomplie. Depuis seize ans je jouis d'une vue normale et je comprends combien vraie est cette définition des « yeux » donnée par Mrs. Eddy à la page 586 de Science et Santé: « Discernement spirituel, — non matériel, mais mental. »

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