[Extrait de la Christian Science Sentinel du 10 août 1940]
Dans la primitive Église, des dissensions se produisirent quelquefois chez les chrétiens, parce que l’un d’eux disait: « Moi, je suis disciple de Paul, » et l’autre: « Moi, d’Apollos. » Paul réprouva cette conduite et il est probable qu’Apollos en fit autant. Paul écrivit: « Qu’est-ce donc qu’Apollos, et qu’est-ce que Paul? Ce sont des serviteurs, par le moyen desquels vous avez cru, selon ce qui a été accordé à chacun par le Seigneur. » (Voir I Corinthiens 3:3–9, 21–23.)
De nos jours, les Scientistes Chrétiens doivent se garder de céder à la même faiblesse humaine. D’aucuns s’expriment parfois comme si la Science Chrétienne pouvait être divisée, comme si l’un ou l’autre de ses enseignements pouvait être spécialement associé avec le nom de tel professeur. Ces paroles irréfléchies sont encore plus nuisibles aujourd’hui qu’elles ne l’étaient au premier siècle de notre ère, car les communications ont pris une rapidité et un développement considérables.
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