Depuis que j'ai appris à connaître la Science Chrétienne — il y a de cela vingt-quatre ans environ — j'ai toujours été profondément reconnaissant de ce qu'elle enseigne. C'est le Consolateur promis, et la Science n'a pas cessé d'être pour moi une « source de vie. »
Elles sont nombreuses et variées les difficultés vaincues grâce à la compréhension de Dieu, de Son omniprésence et de Son omnipotence, que révèle le livre de texte Scientiste Chrétien, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, notre bien-aimée Leader. Ma première grande guérison fut quelque chose de très beau: une gastrite chronique, de la névrose et une dépression sérieuse furent guéries dans les trente-six heures qui suivirent mon entrevue avec un praticien de la Science Chrétienne que je priai de me traiter. Dans ce cas l'heure la plus sombre précéda l'aurore. Alors que je croyais avoir perdu le chemin en Science Chrétienne, je sentis une vague de reconnaissance pour l'amour et les soins constants que me prodiguait ma mère. C'était la guérison morale et spirituelle; quand vinrent ces pensées, le mal physique commença tout de suite à me quitter; après une conversation chez moi, je me trouvai le lendemain matin libre, heureux, en paix; pendant quelque temps il me semblait à peine toucher la terre, et mon cœur célébrait la merveilleuse bonté de Dieu. C'était à coup sûr la guérison-Christ; ma mère elle-même en sentit les bienfaits, partageant ma joie et se trouvant délivrée de certains maux chroniques. J'ai eu dès lors bien des belles périodes de joie et d'inspiration, parfois aussi des épreuves et des difficultés; depuis que son merveilleux pouvoir m'a été prouvé, je n'ai jamais cessé de reconnaître que la Science Chrétienne est ce qu'il y a de plus grand au monde.
Une chose pour laquelle j'ai toujours été particulièrement reconnaissant, c'est que la Science Chrétienne nous protège et nous soutient; je suis heureux que plusieurs maux physiques qui auraient pu devenir des problèmes sérieux aient disparu quand je me suis attaché d'une manière prompte et persistante à la Vérité. L'expérience m'a montré que cela est nécessaire; par exemple, des clous qui m'étaient venus sur le corps se guérirent lorsque j'appris à mettre en pratique ce qu'enseigne le passage suivant, emprunté au livre de texte (p. 395): « C'est du charlatanisme mental de faire de la maladie une réalité — de la tenir pour quelque chose que l'on peut voir et sentir — et d'essayer ensuite de la guérir par l'Entendement. » Un autre énoncé qui m'aida beaucoup quand par la suite de légers maux parurent lents à guérir se trouve aussi dans Science et Santé (p. 113): « La partie vitale, le cœur et l'âme de la Science Chrétienne, c'est l'Amour. » Il me fallut du temps pour vaincre des hémorroïdes très ennuyantes, des maux de tête, une fatigue des yeux. Par contre, divers maux — douleurs rhumatismales ou autres, influenza — ont rapidement été vaincus et guéris.
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