« Mes frères, considérez comme le sujet d'une parfaite joie les épreuves diverses qui vous surviennent, sachant que l'épreuve, à laquelle est soumise votre foi, produit la patience. Mais il faut que la patience ait accompli parfaitement son œuvre, pour que vous soyez vous-mêmes parfaits et accomplis, et qu'il ne vous manque rien. » Voilà ce que dit l'Épître de Jacques.
Cette phrase: « Il faut que la patience ait accompli parfaitement son œuvre »— ne s'accorde guère avec le faux concept de la patience, lequel implique une résignation négative aux maux et aux malheurs plutôt que la pensée du travail. Ceux qui ne connaissent pas la Science Chrétienne regardent peut-être la patience comme une calme attente sous les coups de la douleur, de la maladie, de l'affliction — une soumission passive à des maux inévitables.
C'est là un concept qui marche de pair avec la croyance matérielle de la vie, et beaucoup estiment qu'une saine philosophie doit se soumettre passivement aux forces jugées supérieures; mais cette attitude n'est pas la Science Chrétienne.
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