J'espère que mon témoignage encouragera tous ceux qui, luttant contre des difficultés physiques ou autres, cherchent la vérité et voudraient être libérés de leurs souffrances.
Nous lisons dans l'épître de Jacques: « La prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera; et, s'il a commis des péchés, ils lui seront pardonnés. » J'ai appris à me souvenir toujours que Dieu seul est la puissance infinie. En 1931, je souffris d'une sérieuse artério-sclérose, d'une maladie de cœur et d'une dilatation du foie, auxquelles vinrent s'ajouter le diabète et un mal d'estomac. Les docteurs avaient déjà dit à ma femme de s'attendre à ma mort prochaine. Je demandai à l'un des médecins si jamais je guérirais, mais il me répondit qu'il ne pouvait me mettre un cœur neuf, l'art médical n'en étant pas encore arrivé là. Je tiens à dire qu'alors on me mit à la retraite pour cause de maladie.
Dès 1928, j'avais entendu parler de la Science Chrétienne, mais je ne l'avais pas comprise. Pourtant dans ma détresse j'écrivis à un praticien de la Science Chrétienne à Hambourg — car il n'y a dans notre ville ni église ni société— et j'eus le bonheur de constater que « la détresse de l'homme est l'opportunité de Dieu. » De mois en mois les conditions s'améliorèrent. Maintenant je vais de nouveau tout à fait bien, et mes connaissances s'étonnent de me voir continuellement rajeunir.
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