[Extrait de la Christian Science Sentinel du 27 juillet 1935]
Les personnes qui possèdent des lettres écrites par des hommes ou des femmes célèbres ne se rendent peut-être pas compte qu'elles n'ont pas le droit d'en faire ou d'en vendre des copies sans la permission du scripteur ou de son représentant légal. Selon le droit coutumier, la propriété littéraire d'une lettre continue d'appartenir au scripteur ou à son représentant légal à moins ou jusqu'à ce que ceux-ci en aient disposé.
Ainsi le marchand qui mettrait en vente des lettres écrites par Mrs. Eddy n'aurait pas le droit d'en donner de longs extraits dans son catalogue; il ne peut pas davantage en faire des copies soit pour les distribuer soit pour les soumettre à des amateurs, à moins qu'il n'obtienne la permission des Administrateurs testamentaires de Mary Baker Eddy, lesquels ont la propriété littéraire de toutes ses lettres. Les manuscrits de Mrs. Eddy qui n'ont pas été publiés rentrent dans la même catégorie: il serait illégal de les copier sans la permission des Administrateurs testamentaires.
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