Un dimanche, il y a quelque temps, mon petit garçon de sept ans tomba gravement malade. Je sentis que je devais tout de suite faire appeler le docteur, car l'enfant avait de fortes douleurs et de la fièvre. Le médecin ne put définir le mal, bien qu'il pensât à l'appendicite. Il vint deux fois le lendemain mais ne se prononça pas, et cela dura ainsi jusqu'au mercredi. L'enfant avait une forte fièvre et le corps enflé; il ne pouvait ni remuer, ni manger. Le jeudi, le docteur amena un chirurgien qui put seulement dire que la meilleure chose à faire serait d'envoyer mon fils à l'hôpital. Comme je m'y opposais fortement et que mon mari était en voyage d'affaires, un troisième médecin se présenta le vendredi, mais ne put rien décider non plus.
Le samedi matin de bonne heure, les choses allaient si mal que j'allais consentir à envoyer l'enfant dans une clinique au cours de la journée. Vers midi, le petit qui jusqu'alors était resté tout à fait indifférent, me dit: “Maman, la Science Chrétienne pourrait m'aider, j'en suis sûr. S'il te plaît, fais tout de suite appeler la praticienne dont me parlait tantine l'autre jour.” Cette “tantine” était une connaissance qui nous avait souvent parlé des beaux résultats de la Science Chrétienne. Je dois avouer que je ne m'y étais pas spécialement intéressée, mais le petit y avait fait attention et le prouvait. Jusqu'alors il était resté étendu pendant des heures dans une sorte de torpeur et d'indifférence, et tout à coup il parlait avec lucidité. Je demandai à une amie l'adresse de cette dame, et le samedi, à trois heures environ, ma sœur était chez elle. Je n'oublierai jamais les quelques minutes qui suivirent. L'enfant se dressa sur son lit et dit: “Je crois que tout est parti, je suis de nouveau bien. Donne-moi quelque chose à manger, j'ai si faim!” Le travail de la chère praticienne avait été efficace. Quand ma sœur rentra, le petit était assis sur son lit; il se régalait de sa nourriture et jouait. Le soir quand le docteur arriva et vit l'enfant il fut étonné. La fièvre et l'enflure avaient disparu.
Depuis cet événement nous sommes devenus de fidèles Scientistes Chrétiens, et nous remercions Dieu qui nous a puissamment aidés en temps opportun et continue à nous secourir.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !
