[Extrait de la Christian Science Sentinel du 26 novembre 1932]
Les membres de Seconde Église du Christ, Scientiste à Sacramento, Californie, qui devint une filiale de L'Église Mère en janvier 1915, ont récemment accepté à l'unanimité de se joindre à Première Église. Les cultes de ces églises réunies auront désormais lieu dans l'édifice de Première Église de la susdite ville. Cette démonstraiton d'affectueuse fraternité, d'où résulteront des occasions de collaborer plus étroitement au travail et aux efforts faits en commun, activera indubitablement les progrès de notre Cause dans cette partie du vignoble de notre Maître.
[Extrait de la Christian Science Sentinel du 31 décembre 1932]
Le Comité d'Informations relatif à la Publicité du Monitor, créé en mai dernier pour desservir le district environnant L'Église Mère, poursuit activement son œuvre. Une de ses récentes activités fut d'installer dans le vestibule du rez-de-chaussée de la Maison d'Édition, un tableau qu'il maintient en permanence, et dont le contenu attire beaucoup l'attention de nombreux visiteurs, des employés et des membres locaux. Ce tableau rend d'utiles services; il ressemble à un livre de onze feuillets ayant 61 x 71 cm environ, sur lesquels le Comité, colle, aux deux côtés, des découpures provenant d'annonces internationales du Monitor: hôtels et voyages, écoles et camps, le cours de la Bourse, les récréations et cœtera. Ces annonces, collées sur du carton léger, de même format que les pages de The Christian Science Monitor, sont groupées d'une attrayante façon, et remplacées à intervalles réguliers. Les membres du Comité aiment leur travail, et les remarques que l'on entend dénotent qu'il est apprécié.
[Extrait de la Christian Science Sentinel du 31 décembre 1932]
Occasionnellement, des praticiens de la Science Chrétienne sont appelés à témoigner en justice en ce qui concerne leurs patients. Parfois, il n'est pas exigé que les renseignements obtenus d'un patient, parce que le praticien est en rapport avec lui, soient divulgués. Cependant, il arrive que l'on pose aux praticiens des questions dont les réponses violeraient les prescriptions des Status de l'Article VIII, Section 22, du Manuel de l'Église.
En général, les Cours ont respecté la position des praticiens de la Science Chrétienne, et fait en sorte que les renseignements confidentiels de leurs patients ne fussent pas divulgués. Récemment, au sujet d'un testament, le premier témoin — un praticien — ayant soulevé cette question, la Cour répondit aussitôt que si cette règle s'appliquait à la discipline de l'église à laquelle appartenait le praticien, les juges éviteraient que les confidences de son patient fussent révélées. Cette décision de la Cour fut accordée à d'autres témoins qui avaient traité la personne décédée.
Dans la plupart des cas judiciaires, la loi ne force pas les médecins et les pasteurs à divulguer les choses que les patients et les paroissiens leur ont confidentiellement dites. Il est certain qu'un praticien ne témoignerait pas dans un cas comme le précédent, à moins que la justice ne l'y appelle; et lorsqu'elle le fait, il peut demander que les autorités le dispensent de révéler les renseignements qui lui ont été confiés à titre de praticien. Si la Cour semble encline à exiger que le praticien en parle, il peut attirer l'attention des juges spécialement sur la Section 22, Article VIII du Manuel de l'Église. Alors si la Cour lui ordonne de témoigner il devrait s'y soumettre. Il va de soi que, sauf en cas d'obligation légale, le praticien est tenu de se conformer à la lettre et à l'esprit des Statuts, et de ne pas divulguer les renseignements que lui confient ses patients, à titre de praticien, à moins qu'ils y consentent.
[Extrait de la Christian Science Sentinel du 7 janvier 1933]
Dans la Christian Science Sentinel du 4 juin et du 6 août 1932, le Conseil des Directeurs de l'Église de la Science Chrétienne a demandé aux églises filiales et aux particuliers d'envoyer des exposés historiques pour les classer aux Archives de L'Église Mère. A cet effet, le Conseil en a reçu de nombreux et intéressants, ce dont il est reconnaissant, mais comme un nombre de ces données ne portaient pas de signatures les identifiant, il a fallu les renvoyer pour qu'on les y ajoute. On recommande donc que ces renseignements soient signés, datés, et que les églises ou les sociétés qui les envoient les fassent officiellement aprouver.
Il a été demandé si ces récits historiques paraîtront intacts. Pour le moment, les Directeurs n'ont aucune intention de les publier tels qu'ils sont. L'Église Mère a pour but de les assembler, afin de posséder dans ses archives l'histoire aussi complète que possible concernant la croissance de notre mouvement et la vie de Mrs. Eddy.
