Chaque jour je me rends compte que je suis toujours plus reconnaissante de n’avoir pas d’autre Dieu que le Dieu d’amour révélé aux humains par la Science Chrétienne. Ayant connu comme religion seulement la Science Chrétienne, je n’ai employé qu’elle pour résoudre mes problèmes.
Je me rappelle avoir été guérie il y a quatre ans d’un goitre dû, croyaiton, à l’hérédité. Je me souviens que dans mon enfance, on demandait à ma mère: “Vous rendez-vous compte de son état? Y portez-vous remède?” Quand je fus plus grande, un faux sens d’orgueil s’empara de moi; je devins fort sensible à mon infirmité, et j’y pensais constamment. A plusieurs reprises j’eus recours à la Science, mais le mal ne semblait point céder. Je sentais depuis longtemps que cette démonstration était mon plus grand désir; mais comme je n’appliquais guère la Science Chrétienne et donnais beaucoup de place à l’erreur, le mal ne disparaissait pas.
Il y a près de cinq ans, ma santé s’effondra, et tout mon corps parut malade; au cours de ces souffrances continuelles, je cherchai tant à obtenir le sens normal de santé et de paix que j’oubliai l’état de ma gorge. La guérison fut lente, mais j’en ai été très reconnaissante, car ceci m’engagea à devenir membre d’une église. J’étudiais sans cesse depuis près d’un an quand je me rendis soudain compte que j’étais débarrassée du goitre. Il avait été si complètement exclu de ma conscience que je n’y pensais plus même et j’avais cessé d’y porter les yeux comme autrefois. Ainsi que nous l’enseigne la Science Chrétienne, la guérison se produisit lorsque l’erreur fut bannie de la conscience par l’action de la Vérité.
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