La Science Chrétienne nous fut offerte au moment où, au sens physique, j'étais apparemment perdu pour toujours. La malaria et d'autres fièvres m'avaient affaibli le cœur au point que mon médecin m'envoya au bord de la mer dès qu'on put me transporter. Après y avoir passé quatre mois et demi sous les soins de deux docteurs, dont un spécialiste, je n'étais pas mieux et les choses semblaient sombres et désespérées. On me défendit de retourner en Rhodésia à cause de l'altitude. A cette époque, une personne que nous avions connue par hasard, et qui avait entendu parler de mon état, nous offrit la Science Chrétienne. Elle me prêta Science et Santé avec la Clej des Écritures, par Mary Baker Eddy, me demanda de le lire, et je le lui promis. Le lendemain, j'avertis le spécialiste que j'avais décidé de retourner en Rhodésia. Il supplia ma femme de tâcher que je reste au bord de la mer, mais notre résolution était prise et nous partîmes le lendemain sans la moindre crainte. Pendant ces trois jours de voyage par chemin de fer, je lus à peu près cent pages de Science et Santé, qui me parurent merveilleuses, et je m'efforçai d'en saisir les enseignements et de les mettre en pratique. En arrivant en Rhodésia je n'éprouvai aucunes suites fâcheuses. Je lus Science et Santé encore pendant quelques jours et me rendis ensuite chez mon ancien docteur qui m'en avait prié; il m'examina à fond et déclara que j'étais en très bonne santé, que mon cœur ayant repris sa place normale fonctionnait à la perfection.
J'attribue cette guérison à la lecture et à l'étude des deux cents premières pages de Science et Santé, qui nous a donné le désir de mieux connaître cette grande vérité; nous l'avons cherchée et trouvée avec bonheur, car nous avons pu démontrer la vérité. Grâce à la Science Chrétienne, et parfois avec l'aide de praticiens dévoués, toutes sortes de problèmes petits et grands ont été rapidement et définitivement résolus. Maintenant notre plus grande joie est de pouvoir aider les autres.
Il y a près de quatre ans, nous suivions ma femme et moi un sentier en plein champ quand une vipère mordit notre chien au museau. Le chien s'en ressentit aussitôt; mais nous appliquâmes tous deux la vérité et, en quelques heures, il fut guéri des effets très apparents d'une morsure de serpent.
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