Je voudrais parler d'une guérison qui s'effectua chez nous pendant l'été de 1924. Durant les longues vacances de cette année-là, mon mari et notre fillette firent une excursion. Comme ils en revenaient, l'enfant tomba et se cassa un bras. Mon mari déclara aussitôt la vérité, et, en arrivant à la maison, il lui banda lui-même le bras. C'était un mercredi. J'étais à la réunion du mercredi soir consacrée aux témoignages. A mon retour, mon mari me raconta ce qui s'était passé, mais la Vérité et l'Amour m'avaient tellement inspirée, qu'aussitôt je rejetai mentalment l'erreur. L'enfant dormit paisiblement. Le lendemain matin je l'emmenai chez une praticienne à laquelle je demandai de l'aide, qui fut affectueusement accordée. Neuf jours après nous enlevâmes le bandage, et, au bout du onzième ou douzième jour, l'enfant put remuer ce bras aussi bien que l'autre.
Nous sommes profondément reconnaissants de cette guérison. Si nous savons toujours que Dieu est notre médecin, la guérison est présente. Nous devrions tous nous efforcer de refléter une plus grande mesure du Principe divin, afin de prouver ainsi notre gratitude pour les guérisons que nous avons eues et les bienfaits que nous avons reçus. Nous sommes très, très reconnaissants à la chère praticienne, et nous rendons gloire à Dieu.
Récemment, la même enfant a été guérie de la rougeole en deux jours, alors qu'il a fallu à plusieurs autres enfants de la même école deux semaines pour se rétablir. La fièvre la quitta le premier jour. Nous avons été l'objet d'innombrables bienfaits dans la Science Chrétienne. Notre amour pour Dieu et notre gratitude envers Mrs. Eddy nous permettront de veiller fidèlement à ce que nous ayons cet Entendement “que Jésus-Christ a” eu.
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