La Science Chrétienne a été l’étoile conductrice de mon expérience humaine. “Le Soleil de justice qui porte la santé dans ses rayons” se leva pour moi lorsque j’avais quatre ans, et depuis lors, pendant toutes ces dernières années, cette vérité m’a affranchie de tout état discordant qui a essayé de se manifester. Le mal, soit évident soit subtil,— sous forme de maladie, de crainte, de manque ou d’égarement,— a, en toutes circonstances, cédé la place aux “choses permanentes, bonnes et vraies” (Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, p. 261). Il n’y a jamais eu de maladie qui n’ait été guérie, de besoin qui n’ait été rempli, ni de problème qui n’ait été résolu. Des maux tels que la scarlatine, la rougeole, des hémorragies, la grippe, l’influenza ont été rapidement vaincus par le traitement de la Science Chrétienne. Un jour je fus subitement prise d’une péritonite. Mon frère, qui est médecin, déclara que je n’avais d’autre alternative pour guérir que de me faire opérer. Quelques heures après son verdict j’étais rapidement rétablie, grâce à la connaissance que Dieu est la Vie et que l’homme, ne pouvant jamais perdre Dieu, ne peut jamais perdre la Vie.
A l’âge de dix et quelques années, on m’envoya dans une grande ville pour y faire des études spéciales. J’avais un bon commencement lorsque des circonstances défavorables menacèrent de me priver de ces leçons et de mon éducation générale. L’unique Entendement me dirigea vers un travail des plus agréables, qui était en lui-même une éducation, et me permit à la fois de fréquenter l’école et de faire les études spéciales en question. J’ai eu la preuve qu’on ne peut nullement se fier à la volonté humaine. Une fois que les plans mortels eurent apparemment échoué, il me fut prouvé avec le temps que Dieu était présent dans ce lieu.
Je suis sincèrement reconnaissante d’avoir été lentement mais complètement guérie de la malaria et affranchie de la crainte de souffrir à la naissance d’un enfant. Mais je suis infiniment joyeuse de savoir que toute fable matérielle a un fait spirituel. Exprimer sa reconnaissance la meilleure envers Dieu, envers Jésus et Mrs. Eddy, la révélatrice de la Vérité à cette époque, c’est s’efforcer d’acquérir une compréhension juste de Dieu et de suivre les traces du Maître et de notre chère Leader.
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