Pendant bien des années nous avons joui d'innombrables bienfaits, ma famille et moi. Le Principe divin m'a tirée d'un état de grande dépression mentale ainsi que de toutes ses soi-disant suites fâcheuses, et m'a conduite à la lumière, m'a fait reconnaître la toute-puissance de Dieu et comprendre que l'homme est Sa ressemblance parfaite.
L'erreur qui s'était glissée en moi en raison de cette dépression semblait presque m'accabler, et me faisait croire que les soi-disant narcotiques apportent du soulagement. L'existence elle-même était un fardeau pour moi, et, à deux reprises, je tentai d'y mettre fin complètement. Pendant bien des mois je pris de la morphine si concentrée que mon corps devenait parfois écarlate et que j'avais une démangeaison douloureuse et une sensation de brûlure.
Une praticienne de la Science Chrétienne travailla pour moi avec une patience, un amour et une fidélité inlassables et me conduisit, pas à pas, des ténèbres à la lumière. Ma guérison physique est complète et le désir de prendre ce narcotique est détruit. Les organes qui étaient paralysés en partie ont repris leurs fonctions normales; le corps, qui paraissait excessivement sensible, et les yeux, qui ne pouvaient supporter la lumière, manifestent actuellement l'harmonie. Les membres qui avaient perdu leur vigueur obéissent de nouveau à la pensée, qui en gouverne les fonctions.
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