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Avant d'avoir entendu parler de la Science Chrétienne, ma santé était...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juin 1923


Avant d'avoir entendu parler de la Science Chrétienne, ma santé était loin d'être satisfaisante. J'étais très anémique et me sentais continuellement à bout de forces. Durant huit mois environ, j'avais été alitée, incapable de marcher en raison d'un mal au genou,— suites d'une chute. Trois docteurs en avaient fait un diagnostic différent. L'un disait qu'il provenait du rhumatisme, l'autre de la goutte, et le troisième, d'eau dans le genou. Je revenais de Londres où j'avais consulté un spécialiste qui ne m'avait donné aucun espoir de pouvoir marcher librement avant plusieurs mois.

C'est alors qu'une amie me parla de la Science Chrétienne. J'écrivis immédiatement pour emprunter le livre de texte, “Science et Santé avec la Clef des Écritures,” par Mary Baker Eddy, et demandai des traitements. Après avoir lu quelques pages, je sentis que ce livre contenait ce dont j'avais besoin,— la vérité dont parla Jésus lorsqu'il dit: “Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira;” et je consacrai chaque minute à la lecture. J'enlevai les bandages, je jetai les médicaments et lotions et me mis tout de suite à marcher. Durant près de trois jours, les genoux me firent souffrir et enflèrent plus que jamais; mais je persévérai, et en l'espace d'une semaine, ils étaient guéris ainsi qu'une autre maladie dont j'avais souffert depuis mon enfance. Cela se passait il y a vingt-cinq ans. Avant ma guérison, on me disait que je devrais toujours prendre grand soin de ne pas trop marcher. Cependant depuis lors, j'ai été à même de faire à pied vingt-neuf milles en un jour sans suites fâcheuses, alors qu'avant l'accident, je ne pouvais faire que trois ou quatre milles à la fois.

Il y a quelques années, je ressentis une légère douleur dans le pouce, mais je n'y pris point garde. Au bout de quelques jours, la première phalange devint presque entièrement noire et la souffrance était insupportable. Je quittai alors mon foyer domestique pour me rendre à Londres, car je trouvais que j'avais suffisamment à faire pour surmonter mes propres craintes. Je demandai aussi l'aide d'une praticienne, car bientôt l'inflammation de chaque veine du bras monta jusqu'à l'épaule, et une grosseur se forma au coude. Pendant près d'une semaine je ne me couchai pas et je passai souvent plusieurs heures de la nuit dans de grandes souffrances à arpenter ma chambre. Au bout de ce laps de temps, cet état commença à s'améliorer. Une amie qui, en qualité de directrice d'un grand hôpital, avait acquis une grande expérience, et qui vint me voir plusieurs fois pendant que j'étais souffrante, m'assura que j'aurais certainement perdu le pouce si j'avais reçu des traitements médicaux; tandis qu'il fut au contraire complètement guéri. Je me rendais bien compte de cela durant presque toute cette épreuve, et lorsque tout fut passé, la victoire remportée sur cette crainte qui m'avait hantée fut pour moi d'un secours presque plus grand encore que la destruction de la douleur qui me parut extraordinaire.

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