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Je désire exprimer ma très profonde gratitude envers Dieu pour une guérison...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mai 1922


Je désire exprimer ma très profonde gratitude envers Dieu pour une guérison que produisit en 1919 la connaissance de la Science Chrétienne.

Selon le sens matériel, je fus soudainement pris de rhumatisme dans les jambes, alors que j'étais au service de l'Armée anglaise au front de l'ouest, immédiatement après que l'armistice fut conclu, que nous venions de rentrer de l'Allemagne et que nous nous reposions à la frontière de la Belgique. Le froid était excessif, et bien que je lusse constamment des passages de Science et Santé, ma compréhension était obscurcie; finalement un docteur de l'armée m'envoya dans un hôpital pour les cas d'urgence en Belgique. On me fit aller au lit, et après m'avoir examiné, les docteurs déclarèrent que le rhumatisme avait atteint les valvules du cœur, de sorte qu'il me fut absolument interdit de me lever. Je continuai de lire Science et Santé, mais au bout de trois semaines, au lieu de s'être améliorer, mon état n'avait fait qu'empirer, selon le témoignage du sens mortel, et je ne pouvais supporter que l'on me bougeât. Je résolus donc de me faire donner des traitements à distance, mais il semblait y avoir beaucoup d'obstacles pour obtenir la permission d'envoyer un télégramme à une praticienne de Dublin par l'intermédiaire du quartier général de l'armée; de sorte que je m'adressai au chapelain de l'Église anglicane qui me promit avec bienveillance de s'en charger pour moi; ce qu'il fit en effet. Les principaux officiers de médecine permirent que le télégramme fût envoyé, après m'en avoir fait changer quelque peu les termes. Au reçu de mon télégramme la praticienne se mit à travailler pour moi avec bonté, et au bout de quelques heures on me transporta de l'hôpital au chemin de fer, où j'attendis un train d'ambulance allant à la côte. Après avoir subi l'examen de plusieurs médecins, j'arrivai enfin à la côte, me sentant de nouveau assez bien, et l'on m'envoya finalement en Angleterre. A Leicester on déclara que mon état de santé était tout à fait bon, ne laissant aucune trace de maladie de cœur, et l'on m'envoya en congé. Je dois dire qu'il se passa dix jours du moment où je fis expédier le télégramme jusqu'à celui où l'on me donna congé et me déclara bien portant, et pendant ce laps de temps on ne m'administra pas une seule dose de médicament.

Je voudrais exprimer mon appréciation sincère du bon travail que fit ma chère praticienne, de sa pensée pleine d'amour qui vainquit promptement tous les obstacles matériels, et de ces belles paroles si réconfortantes (Science et Santé, p. 494): "L'Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain, et y pourvoira toujours."

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