C'est avec un cœur reconnaissant que je désire exprimer ma gratitude pour les nombreux bienfaits reçus de la Christian Science. Au cours de l'année 1913 une amie d'Amérique, en visite ici, attira mon attention sur cet enseignement. Par la suite je reçus Der Herold mensuellement et le lus avec grand intérêt. En 1915, souffrant d'une maladie de la peau qui me tourmentait beaucoup, je me rendis chez une praticienne et, tout en larmes, lui fis part de mon affliction. Elle me consola avec bonté et me donna un traitement. Je rentrai chez moi, heureuse et confiante. Ma famille s'opposait vivement à la Christian Science et l'on écrivit à mon mari qui, à ce moment-là, se trouvait au front. Il rentra immédiatement et insista pour que je consulte un médecin; celui-ci évoqua les mesures les plus rigides, mais je savais que la loi de Dieu les rendrait nulles et sans effet, convaincue que Dieu seul pouvait être mon Médecin et l'Entendement divin mon unique médecine. Avec le seul secours de Dieu je fus délivrée de ce mal ainsi que de maux de tête dont je souffrais depuis mon enfance.
Cette expérience convainquit non seulement ma famille mais aussi mon mari. Mes deux enfants fréquentent l'école du dimanche et je suis heureuse de pouvoir les élevre avec cette manière correcte de penser. Pendant qu'il était au front, mon mari fut protégé d'une façon merveilleuse et tout récemment il fut guéri en trois traitements d'une maladie pénible à la vue. Ces preuves, ajoutées à d'autres, le convainquirent pleinement du pouvoir guérisseur de la vérité, et j'en rends grâces à Dieu du plus profond de mon cœur.
Un soir, je fus prise de aiguës dans l'abdomen et passai une fort mauvaise nuit. Le lendemain matin le traitement de la Christian Science fut réclamé. Vers midi les douleurs reparurent plus fortes encore qu'auparavant et mon mari fit venir un médecin qui diagnostiqua le mal; il déclara que je souffrais d'une excroissance dans l'abdoment et qu'il fallait immédiatement me transporter à l'hôpital pour m'y opérer. Mais je refusai d'en rien entendre et demandai à ce qu'une praticienne vienne me voir. Elle ne m'avait pas encore quittée que j'étais déjà sur mon séant. La nuit suivante fut bonne et le lendemain je pouvais me lever et aider quelque peu aux travaux du ménage. Au bout de quelques jours j'étais guérie et aujourd'hui je jouis d'une santé parfaite.
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