
Editoriaux
Christ Jésus envoya deux groupes de disciples, l'un de douze, l'autre de soixante-dix, leur enjoignant de prêcher l'évangile et de guérir les malades. Les deux réussirent dans leur mission.
Le pouvoir, c'est la capacité accordée à l'intelligence d'agir et de produire un effet qui lui ressemble. L'intelligence est la qualité première de Dieu, de l'Entendement qui et l'Amour.
Des théories sur l'évolution des différentes espèces de la vie matérielle, en partant des plus basses pour aller vers les plus élevées, continuent à faire leur apparition. En général ces théories se préoccupent peu ou pas du tout de la compréhension de Dieu en tant que créateur, mais considèrent que la vie débute dans une infime parcelle de matière, et évolue selon une ligne matérielle directe.
« La nature du christianisme est paisible et heureuse », écrit Mrs. Eddy dans Science et Santé (p.
Dieu est le Principe divin — la source, la substance, le gouverneur et la loi — de Sa propre manifestation infinie, l’univers spirituel qui renferme l’homme. Dans Science et Santé, Mrs.
Le monde s’adresse au matérialisme pour obtenir les remèdes contre les difficultés que ce même matérialisme a créées. Mais le matérialisme est-il capable de résoudre ces difficultés ? La Science Chrétienne montre qu’il en est incapable, et l’histoire le confirme.
La prière est-elle efficace ? Ce que nous pensons de Dieu et de Sa création parfaite a-t-il un effet bienfaisant sur l’humanité ? A ces deux questions la Science Chrétienne répond par l’affirmative. A la page 210 de The First Church of Christ, Scientist, and Miscellany, Mrs.
La pensée humaine a depuis longtemps été habituée à avoir affaire avec des symboles, et elle est devenue vraiment capable de voir derrière un symbole déterminé ce qu’il représente. Le courage est symbolisé par le lion.
Dans l’usage ordinaire on confond parfois l’aptitude avec la chose accomplie, le pouvoir d’accomplir avec l’accomplissement lui-même. En réalité, l’aptitude humaine n’est qu’une promesse qui ne devient un accomplissement que lorsqu’on s’en sert.
Le monde a une croyance si forte au mal que la possibilité de maladie et de malheur se présente constamment à nos yeux. La crainte du mal, particulièrement de la maladie, est censée être préférable à l'ignorance.