Un jour, alors que je marchais dans une rue animée, je priais au sujet de l’unité et de la totalité de Dieu. Je reconnaissais que nous tous dans la ville et, en fait, dans le monde entier, étions aimés et en sécurité. Alors que je marchais sur deux lourdes portes en métal qui se trouvaient sur le trottoir à l’extérieur d’un pub, elles se sont soudainement ouvertes et m’ont projetée sur l’asphalte. Pendant le court moment où je suis restée allongée là, mes pensées sont demeurées centrées sur l’amour de Dieu pour le monde entier.
J’ai entendu un homme crier d’en bas, et avertir son jeune apprenti de ne jamais laisser les portes sans surveillance lorsqu’il les ouvrait. Des piétons inquiets se sont rassemblés autour de moi alors que je me relevais péniblement. Ils m’ont demandé si j’allais bien et ils ont exprimé leur étonnement que je ne me sois pas cassé un membre. Je les ai remerciés pour leur sollicitude et je leur ai répondu que la prière m’avait protégée. J’étais tellement remplie de cette pensée de la protection de la prière que j’ai même pris le bras d’une femme qui semblait particulièrement alarmée par ce qu’elle avait vu et je lui ai dit tendrement : « La prière m’a vraiment protégée. » J’ai ensuite continué mes courses.
Sur le chemin du retour, j’ai prié immédiatement lorsque les symptômes du choc m’ont assaillie. Alors que je répétais « l’exposé scientifique de l’être », tiré du livre d’étude de la Science Chrétienne (Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 468), les nausées et les vertiges se sont immédiatement dissipés et je suis rentrée à la maison en toute sécurité.
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