Quatre jours avant mes examens de fin d’année en sciences, à l’école, j’ai commencé à ressentir les symptômes d’un rhume. Au début, les éternuements et la toux n’étaient pas très importants mais, le lendemain matin, ils étaient devenus très agressifs.
Parce que j’avais eu de nombreuses guérisons en Science Chrétienne, j’ai rapidement appelé une praticienne de la Science Chrétienne (qui était aussi ma monitrice de l’école du dimanche de la Science Chrétienne) et je lui ai demandé de m’aider par la prière. Elle a accepté avec amour de prier pour moi et m’a rappelé ce que nous avions fait à l’école du dimanche, à Chandigarh : deux semaines plus tôt, nous avions parlé des problèmes qui pouvaient survenir durant les examens de fin d’année, et nos moniteurs nous avaient demandé d’écrire des idées spirituelles qui pourraient nous aider à prier à l’avance au sujet de ces problèmes. Nous nous étions inspirés de la Leçon biblique de cette semaine (que l’on trouve dans le Livret trimestriel de la Science Chrétienne) dont le sujet était « Entendement ». La praticienne m’a suggéré de me référer à cette liste et de lire ce que j’avais écrit en réponse à la question : Comment prier si je ne me sens pas bien avant un examen ?
Après avoir raccroché, je suis retournée à mes notes, et j’ai vu que j’avais recopié un passage de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, en guise de réponse : « Non seulement la Science révèle que l’origine de toute maladie est mentale, mais elle déclare aussi que toute maladie est guérie par l’Entendement divin. » (p. 169) J’ai vu que je pouvais faire confiance à Dieu pour me guérir.
J’ai aussi prié avec un autre passage de Science et Santé que la praticienne avait partagé avec moi : « Prenez possession de votre corps et dominez en la sensation et l’action. Elevez-vous dans la force de l’Esprit pour résister à tout ce qui est dissemblable au bien. » (p. 393)
Alors que je priais avec cette idée, j’ai compris plus clairement que, parce que Dieu ne me donne que le bien, ces symptômes ne pouvaient pas faire partie de moi, car ils ne sont pas bons. J’ai réalisé que Dieu me donnait la force de m’élever mentalement et d’ « épousseter » tout ce qui n’était pas bon, de la même façon que je brosserais mes vêtements pour en éliminer le sable.
Le lendemain, je me sentais mieux mais je n’étais pas complètement guérie. La praticienne m’a donc demandé de lire le cantique 221 dans l’Hymnaire de la Science Chrétienne. La dernière partie du cantique dit :
En nous est Ton royaume,
Dieu puissant, et toujours
Ta loi sera pour l’homme
Le règne de l’Amour.
(Margaret G. Matters, trad. © CSBD)
J’ai compris que puisque le royaume de Dieu – la santé et l’harmonie véritables – est en moi de façon permanente, rien ne pouvait me priver de ma santé et de mon intégrité.
Le lendemain, qui était la veille de mon examen de sciences, j’étais complètement guérie. Et j’ai très bien réussi mon examen ! Je remercie Dieu pour cette guérison.
