Peu après avoir terminé mes études, j’ai dû faire face à un dilemme moral. J’avais du mal à savoir quelle décision prendre, d’autant plus que la frontière entre ce qui était juste et ce qui ne l’était pas ne semblait pas clairement définie. J’attendais de mes prières que Dieu me donne la « permission » d’aller de l’avant dans ce que je pensais être le bon choix en la circonstance. Comme je n’entendais ni « oui » ni « non », j’ai choisi de faire ce qui me paraissait juste.
Quand j’y repense, je n’ai pas le sentiment d’avoir pris la meilleure décision, et je me suis parfois demandé pourquoi Dieu n’avait pas planté devant moi un feu rouge géant. Où était le « non ! » divin quand j’avais eu besoin de l’entendre ?
Accepterons-nous de suivre les directives de Dieu, même si elles sont inattendues ?
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