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Pendant la période de Noël, et toujours, nous pouvons prier pour tous ceux qui sont déplacés ou sans domicile fixe. En tant qu’enfants de Dieu, l’amour de notre Père-Mère se répand sur chacun de nous au-delà de tout ce que nous pourrions imaginer.

Au fil des jours, des lueurs d’espoir ont commencé à poindre. Je me sentais en pleine transformation, réveillée. J’ai continué mon étude, et la dépression a disparu. Elle n’est jamais revenue.

Ayant déjà affronté – et guéri – la peur de parler en public, j’étais prête à affronter les autres prises de parole obligatoires avec confiance et joie, m’appuyant totalement sur Dieu.

Il est écrit dans la Bible : « Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. » (Actes des apôtres 20:35) Ainsi, il est aussi important de donner des cadeaux de Noël que d’en recevoir.

J’affirmais que l’évidence de la maladie était une illusion, un mensonge au sujet de la création entièrement bonne de Dieu.

La prière est-elle même utile dans un monde où la paix semble être l’exception et non la règle ?

L’année dernière, à Noël, je me suis réveillée un matin en me sentant très malade avec des symptômes qui ressemblaient à ceux de la grippe. Cependant, au fur et à mesure que la journée avançait, elle se remplissait de merveilleuses expressions d’amour, de gratitude et de guérison pour ma famille.

Lorsque l’auteure avait une vingtaine d’années, un membre de l’église a critiqué sa façon de s’habiller. Elle n’était plus très sûre de vouloir retourner à l’église. Où était l’accueil inclusif auquel elle s’attendait ? Elle allait bientôt le découvrir. 

Dieu nous donne toujours, et à chaque instant, tout ce dont nous avons besoin, y compris l’inspiration. Il suffit d’écouter !

Notre famille a découvert que lorsqu’on est prêt à renoncer à l’obstination et à faire confiance à l’amour de l’Amour divin, l’harmonie règne très naturellement en lieu et place de l’inharmonie.