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Témoignages

Mon étude de la-Science Chrétienne m'a fait entrevoir une lueur de l'union qui existe entre l'homme et Dieu. Je ne m'adonnai pas à cette étude pour en retirer la guérison physique, mais parce que j'étais témoin journellement de ce que cette vérité opérait dans la vie d'autres personnes.

Ma guérison fut des plus remarquables vu que je fus guérie en un traitement à distance donné par un praticien de la Science Chrétienne, d'une maladie qu'on disait toute particulière et incurable du point de vue de la médecine. J'avais vécu pendant quelques années à une altitude très élevée, mais ma santé était néanmoins parfaite jusqu'à ce que, après une maladie de quelques jours seulement, il se développât un mal qu'aucun médecin, même le plus habile, ne put diagnostiquer ni soulager.

Depuis plus de dix ans j'avais dans le nez un polype qui me fermait presque entièrement l'une de mes narines. Les médecins me disaient que mes poumons manquaient d'air à cause de ce mal, et qu'il fallait me faire opérer, mais je remettais continuellement l'opération.

Je puis ajouter au témoignage de mon mari qu'en sus des nombreuses preuves que nous a données la Science Chrétienne en cas de maladie, elle nous est précieuse dans toutes les circonstances de la vie. Nous n'étions pas pourvus d'argent au moment de la déclaration de la guerre, ni nous, ni les membres de notre famille dont nous avions la charge; cependant, la Science Chrétienne nous a aidés.

Pendant l'hiver de l'année 1911 je fus pris de fortes douleurs dans les reins et dans les jambes. Je fus obligé de garder le lit et de faire venir un médecin qui déclara que j'avais des névralgies internes.

J'écris ce témoignage le cœur plein de gratitude envers notre Père-Mère Dieu, et envers la noble femme qui a donné à cet âge une compréhension démontrable de Sa loi. Avant de commencer l'étude de la Science Chrétienne, il y a environ douze ou treize ans, j'étais comme une barque sans gouvernail, je n'avais jamais trouvé une explication de la vie qui me parût logique ou une religion qui me satisfît.

Il y a presque quatre ans, je souffrais beaucoup de ce que les médecins appelaient un état de débilité extrême. J'avais constamment des maux de tête, et je souffrais des yeux.

Les paroles sont bien impuissantes pour traduire l'immense reconnaissance que je dois à la Science Chrétienne pour tout le bien physique et moral qu'elle m'a apporté et m'apporte chaque jour. D'une nature soucieuse, bilieuse, émotive et sensible, je ne trouvais pas dans l'enseignement religieux que j'avais reçu, réponse à toutes les aspirations de mon cœur et au pourquoi si angoissant de toutes les misères humaines.

La gratitude que je ressens en mon cœur me pousse à profiter de l'occasion de dire aux autres les immenses bienfaits et l'immense secours que m'a valus la Science Chrétienne. J'étudie cette vérité depuis cinq ans.

Tous les jours ma gratitude va grandissant pour la compréhension que je possède de la Science Chrétienne, et vu que je réalise que le meilleur moyen de témoigner de cette gratitude est de donner à autrui ce qui m'a été donné à moi-même, j'offre ce témoignage d'une parfaite guérison d'une maladie pulmonaire aiguë, guérison qui s'opéra en quatre jours. Le mardi, 2 janvier, 1917, vers onze heures du matin, j'eus subitement de forts frissons.

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