
Témoignages
Je suis profondément reconnaissante à la Science Chrétienne de tout ce qu'elle a fait pour moi depuis que je la connais. La lumière de la Vérité, qui s'est levée sur ma vie m'éclaire de plus en plus.
Quand mon attention fut attirée sur la Science Chrétienne, dans l'automne de 1908, j'étais dans un état physique et mental désespéré. J'avais depuis mon enfance souffert d'une constipation chronique qui me donnait de l'eczéma aux mains et aux pieds.
Mon cœur est plein de gratitude, et je voudrais glorifier Dieu et relater une belle guérison que j'ai eue il y a quelques années. Par suite d'une chute que je fis en me skiant un morceau de cartilage se détacha de mon genou et y voyagea à l'état de substance étrangère, selon le diagnostic du docteur que je consultai plus tard.
Lorsque j'entendis parler de la Science Chrétienne pour la première fois, je souffrais de la tuberculose osseuse à la cheville gauche; on y avait posé des éclisses. Plus tard le coude droit fut atteint.
Il y a plus de vingt ans, j'attendais mon premier enfant et des célébrités médicales de New-York City déclarèrent qu'il fallait m'opérer sans délai, car j'avais une néphrite aux reins. Alors, un petit grain de Vérité, qu'une sœur s'intéressant à la Science Chrétienne avait semé, remua dans ma conscience, au grand étonnement de toute notre famille qui, fidèle aux conventions ordinaires, s'imaginait que c'était la vision d'un rêve.
Un profond sentiment de gratitude m'incite à témoigner des multiples bienfaits et des guérisons nombreuses dont j'ai été l'objet au cours de bien des années. Je n'ai pas été amené à la Science Chrétienne parce que j'étais malade physiquement, mais parce que je cherchais la vérité.
J'ai été guérie pour la première fois par la Science Chrétienne, il y a quelques années, instantanément. J'étais très épuisée et souffrais d'hémorragies que les médecins de deux villes ne pouvaient ni diagnostiquer ni guérir.
Je désire témoigner de ce que la Science Chrétienne a fait pour moi; car, sans son secours, ou bien je ne serais plus, ou bien je serais une invalide incurable. Étant enfant, j'étais toujours maladive, et mon état s'aggrava avec les années.
Lorsque j'entendis parler de la Science Chrétienne pour la première fois, mon mari commençait à souffrir d'une maladie dite incurable qui, désormais, l'empêchait de s'occuper de nos affaires. Ayant trois petits enfants, je me trouvai en face de problèmes et de décisions à prendre d'ordre financier et scolaire qui, du point de vue humain, semblaient dépasser ma compétence.
Les mots me manquent pour exprimer ma gratitude pour tout ce que la Science Chrétienne a fait pour moi. J'étais très délicate depuis ma tendre enfance, et constamment entre les mains des docteurs.