Témoignages

Quand la Science Chrétienne vint à moi, j'étais au plus mal, en proie au désespoir et souffrant d'une maladie que les médecins disaient incurable. Comme on craignait la contagion, j'étais séparée de mes quatre enfants.

Pour moi la vérité révélée en Science Chrétienne est une source où je puise l'aide et la joie. J'ai eu maintes preuves du pouvoir guérisseur de cette Science.

Une profonde gratitude m'incite à donner mon témoignage. Un soir d'été, en revenant d'une réunion de la Science Chrétienne, je m'absorbai dans la lecture d'une conférence qu'on m'avait donnée à la sortie.

Pendant une longue période d'épreuves, les témoignages de guérison publiés dans nos périodiques m'ont beaucoup fortifiée, aussi est-ce un bonheur de raconter la guérison et le réveil merveilleux que j'ai finalement obtenus; j'espère que ceci donnera de l'assurance à d'autres personnes « qui peinent dans la solitude » ( Poems, par Mary Baker Eddy, p. 14).

Mon premier contact avec la Science Chrétienne date de la guerre, alors que j'étais officier aviateur dans le Corps britannique expéditionnaire en Belgique. Le Comité distribuant les publications de la Science Chrétienne à l'armée britannique avait envoyé pour notre escadrille six exemplaires de notre quotidien, The Christian Science Monitor, qu'on déposa au mess.

Je tiens à exprimer ma reconnaissance pour toutes les bénédictions que je dois à la Science Chrétienne. Il y a vingt-trois ans que cette Science me secourt, quelles que soient les difficultés.

La confiance que j'ai dans la Science Chrétienne fut d'abord causée par quelques guérisons dans notre village. Avant d'avoir recours à cette Science, j'avais eu des soucis et de grands chagrins, et j'avais beaucoup souffert.

Il y a environ dix ans que j'appris à connaître et à aimer la Science Chrétienne; je lisais volontiers dans l'édition allemande du Héraut les nombreux et magnifiques témoignages de guérison; je m'absorbais dans l'étude du livre de texte de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, et j'eus aussi l'occasion de mettre en pratique ce que j'avais appris. Par suite d'une lésion à la cheville, je fus atteint d'un empoisonnement du sang.

C'est pour moi un privilège ainsi qu'un devoir de faire connaître les bienfaits reçus grâce à la Science Chrétienne. En 1931, mon mari fut atteint d'une espèce d'enflure qui paraissait tout à coup là où on ne s'y attendait nullement, et disparaissait soudain.

Les nombreux bienfaits que je dois à l'application des règles de la Science Chrétienne me portent à publier ma profonde reconnaissance. Je voudrais dire comment je suis venu à la Science Chrétienne.