
Témoignages
Il m'est un devoir d'exprimer ma grande reconnaissance envers Dieu qui dans Sa bonté m'a fait connaître la Science Chrétienne, l'heureux héritage que nous a légué cette grande et noble femme, Mrs. Eddy.
Je suis heureux de pouvoir reconnaître un gouvernement divin qui embrasse tout. Il y a cinq ans environ, alors que je souffrais de l'épine dorsale, mon attention fut attirée sur la Science Chrétienne, mais je ne voulus rien entendre à ce sujet.
Dans Science et Santé avec la Clef des Écritures (p. 582), Mrs.
Voici bien des années que j'étudie la Science Chrétienne; et je sais maintenant que les nombreuses bénédictions dont j'ai joui dès lors sont venues dans la mesure où j'étais disposé à obéir «à la règle de l'harmonie perpétuelle,— la loi de Dieu » ( Science et Santé, par Mrs. Eddy, p.
C'est par une connaissance que j'entendis parler de la Science Chrétienne; je lus Rudiments de la Science Divine et Non et Oui, par Mary Baker Eddy, livre qui m'intéressa de plus en plus. Peu de temps après, j'eus en Science Chrétienne une guérison que je désire raconter.
Chaque jour s'accroît ma gratitude envers Dieu, qui m'a conduit à la Science Chrétienne; ces grandes vérités, apprises par une étude diligente, nous aident dans toutes les situations. Je désire parler de la guérison qui m'a amené à la Science Chrétienne.
Lorsqu'il y a six ans j'entendis parler de la Science Chrétienne, je souffrais de troubles cardiaques — mauvais fonctionnement d'une valvule et dilatation du cœur. Il m'était impossible de gravir un escalier sans m'arrêter plusieurs fois.
J'entrepris l'étude de la Science Chrétienne après avoir vu la magnifique guérison d'une amie; c'est avec joie et reconnaissance que j'atteste l'aide et la guérison que m'ont apportées ces enseignements. En appliquant cette loi de Vérité, je pus résoudre ce qui paraissait un problème très difficile — quitter la maison et m'établir chez moi.
Dans la préface de notre livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, nous lisons ces merveilleuses paroles (p. vii): « Pour ceux qui s'appuient sur l'infini et qui en font leur soutien, aujourd'hui est gros de bienfaits.
Mes plus anciens souvenirs sont ceux d'une enfance maladive. Mes parents craignaient toujours de me perdre.