Témoignages
C'est en 1911 que j'appris à connaître la Science Chrétienne. Jusqu'alors j'avais été sourd des deux oreilles.
Je n'étais qu'un jeune écolier lorsque je m'adonnai au tabac. Par la suite, cette passion devint si forte que je voulus m'en débarrasser.
La Science Chrétienne m'a ouvert les portes de l'espoir, de la joie, du courage, et je désire faire part de ma gratitude afin que ces portes s'ouvrent pour d'autres humains. Lorsque j'entrai en contact avec la Science Chrétienne, j'avais étudié et médité diverses philosophies et religions; je cherchais un remède à la mélancolie et au scepticisme qu'avait produits chez moi l'observation de ce qui me paraissait être la nature de l'homme.
Profondément reconnaissante envers Dieu de ce que la Science Chrétienne a fait pour moi, je désire parler d'une guérison qui remonte à 1923. A cette époque j'avais déjà lu la Vie de Mary Baker Eddy, par Sibyl Wilbur.
Pendant des années je ne voulus pas accepter la Science Chrétienne, et la notion que je m'en étais faite suscitait chez moi une vive opposition. Un jour le docteur me dit que j'avais un grave empoisonnement du sang et qu'il me faudrait aller tout de suite à l'hôpital.
Pendant les vacances, j'eus la grippe. Avec l'aide de la Science Chrétienne, je pus reprendre mon travail après être resté un jour en chambre.
Mon intérêt pour la Science Chrétienne date de huit ans environ, époque où je souffrais des nerfs. La guérison fut progressive, mais dès le début mon étude m'apporta toujours plus d'harmonie.
« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont Dieu nous console nous-mêmes, nous puissions aussi consoler les autres, dans quelque affliction qu'ils se trouvent! » Il y a quelques années, une personne que je chérissais s'en alla; pendant cinq ans je m'en affligeai, jusqu'à ce que j'apprenne à connaître la vérité de l'être enseignée par la Science Chrétienne. Grâce au Consolateur, à la Science Chrétienne, je fus guérie si complètement que lors d'un autre deuil, je ne pleurai pas et pus même réconforter d'autres membres de ma famille qui ne sont pas Scientistes Chrétiens.
Pour le Scientiste Chrétien, c'est un devoir en même temps qu'un privilège de glorifier Dieu et d'attester les nombreuses et riches bénédictions dont notre Père-Mère nous comble par la Science Chrétienne. J'ai été guéri d'une amygdalite chronique.
A la page 371 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, notre bien-aimée Leader, Mary Baker Eddy, déclare: « De même que les enfants effrayés cherchent partout le fantôme imaginaire, ainsi l'humanité malade voit le danger de tous côtés et cherche le remède en tout, sauf le bon moyen. » Ces paroles décrivent l'état où j'étais lorsque je me rendis à une conférence Scientiste Chrétienne.