Témoignages

Depuis que j'étudie la Science Chrétienne, j'ai souvent puisé le courage et la force dans les témoignages donnés par mon prochain; et j'espère beaucoup que la gratitude exprimée dans ces lignes aidera d'autres personnes. Lors de ma première guérison, la Science Chrétienne m'était inconnue, mais un ami qu'elle avait guéri du mal dont je souffrais moi-même me recommanda d'aller voir une praticienne.

Parce que les témoignages de guérison publiés dans nos périodiques m'aident beaucoup, je voudrais ajouter mon nom à la longue liste de ceux dont la gratitude envers la Science Chrétienne est éternelle. Il y a cinq ans, alors que je lugeais, je ne fus plus maîtresse de mon toboggan qui glissa sur une pente presque verticale.

C'est le moment que j'exprime par écrit ma gratitude envers Dieu, pour les nombreuses bénédictions reçues grâce à la Science Chrétienne. Ma première guérison remonte à seize ans; il s'agissait de constipation chronique et de fréquents embarras gastriques, que je croyais tenir de ma mère.

Il y a vingt-six ans, un ami put voir les souffrances que me causaient une série de tumeurs qui, finalement, m'obligèrent à garder le lit. Les docteurs m'avaient dit qu'une opération s'imposait et qu'elle aurait lieu dans quelques jours.

Il y a plus de vingt ans que la Science Chrétienne m'a guérie de l'asthme et du rhumatisme. Quelques années plus tard je cessai l'étude de cette religion, parce qu'un membre de ma famille s'y opposait.

C'est en 1911 que j'appris à connaître la Science Chrétienne. Jusqu'alors j'avais été sourd des deux oreilles.

Je n'étais qu'un jeune écolier lorsque je m'adonnai au tabac. Par la suite, cette passion devint si forte que je voulus m'en débarrasser.

La Science Chrétienne m'a ouvert les portes de l'espoir, de la joie, du courage, et je désire faire part de ma gratitude afin que ces portes s'ouvrent pour d'autres humains. Lorsque j'entrai en contact avec la Science Chrétienne, j'avais étudié et médité diverses philosophies et religions; je cherchais un remède à la mélancolie et au scepticisme qu'avait produits chez moi l'observation de ce qui me paraissait être la nature de l'homme.

Profondément reconnaissante envers Dieu de ce que la Science Chrétienne a fait pour moi, je désire parler d'une guérison qui remonte à 1923. A cette époque j'avais déjà lu la Vie de Mary Baker Eddy, par Sibyl Wilbur.

Pendant des années je ne voulus pas accepter la Science Chrétienne, et la notion que je m'en étais faite suscitait chez moi une vive opposition. Un jour le docteur me dit que j'avais un grave empoisonnement du sang et qu'il me faudrait aller tout de suite à l'hôpital.