Témoignages
Dans Science et Santé (p. 1) Mrs.
Depuis que j'étudie la Science Chrétienne, je suis heureuse et j'ai l'âme en paix; aussi la gratitude envers Dieu m'incite-t-elle à donner ce témoignage par le canal des périodiques. Grâce à la compréhension du pouvoir divin toujours accessible, la sollicitude de Dieu m'a été maintes fois prouvée.
Depuis que j'étudie la Science Chrétienne, un développement spirituel riche en joie s'est poursuivi d'année en année. Le pouvoir guérisseur et l'influence régénératrice de l'Amour divin me furent prouvés maintes fois.
Je sens qu'il me faut exprimer ma gratitude envers Dieu concernant toutes les bénédictions reçues grâce à la Science Chrétienne. Lorsque j'abordai l'étude de cette Science, je portais des lunettes parce que j'étais atteinte d'un astigmatisme prononcé.
Depuis douze ans je lis avec joie les témoignages de guérison publiés dans les périodiques de la Science Chrétienne et j'écoute ceux qu'on donne aux réunions du mercredi soir. J'en suis arrivé à la conclusion que j'aurais tort de négliger plus longtemps de partager avec autrui les bénédictions reçues par l'étude et la pratique de la Science Chrétienne.
Il y a plus d'une année, un témoignage paru dans la Sentinel attira mon attention; la personne qui l'écrivait avait dû tout à la fois élever un petit enfant, finir ses études universitaires et enseigner. Elle avait été guérie d'un épuisement nerveux et son cas ressemblait beaucoup au mien.
Les bienfaits qu’apporte la mise en pratique de la Science Chrétienne m’ont été prouvés bien des fois, financièrement, moralement et physiquement; en écrivant ce témoignage, j’éprouve donc une profonde gratitude concernant l’église, l’école du dimanche, les périodiques et tout ce qu’accomplit le mouvement Scientiste Chrétien. Chaque année j’apprécie et j’aime davantage Mary Baker Eddy et son livre, Science et Santé avec la Clef des Écritures; en même temps la Bible, la vie et les œuvres du Christ Jésus deviennent pour moi plus précieuses et plus pratiques.
J’ai bien sujet de rendre grâce à Dieu. J’avais six ans quand la Science Chrétienne entra dans notre foyer.
Le 11 décembre 1943 — le premier jour d’hiver où il faisait vraiment froid — je travaillais comme ajusteur pour la période de guerre dans le plus grand chantier de construction navale en Nouvelle-Angleterre. Depuis plusieurs jours, j’installais « des couvercles en biais » dans les réservoirs à mazout d’un grand vaisseau.
C’est le cœur rempli de gratitude que j’envoie ce témoignage. Au pensionnat, une autre élève me parla de la Science Chrétienne.